ERDF — GIP LABEO — Chair of Excellence — Fulvio Salati (Q3673367)
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Project Q3673367 in France
Language | Label | Description | Also known as |
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English | ERDF — GIP LABEO — Chair of Excellence — Fulvio Salati |
Project Q3673367 in France |
Statements
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1 February 2016
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31 January 2017
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GIP LABEO
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14280
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Depuis quelques années l'ostréiculture française est en difficulté. En effet, depuis 2008, des mortalités massives de larves et de naissains sont observées chez l'huitre creuse (Crassostrea gigas) sur l'ensemble des grands secteurs français de production particulièrement pendant la période estivale. La présence d'un virus herpétique de l'huître est souvent incriminée. En 2012, en plus des mortalités de naissains, les huîtres adultes (commercialisables) subissent le même sort. Dans de nombreux endroits de la métropole, les taux de mortalité pouvant dépasser 50%. Dans ce cas, la bactérie Vibrio aestuarianus est mise en cause.La production ostréicole normande a ainsi chuté en dix ans de 27 000 tonnes à 21 000 tonnes aujourd'hui.Ce qui a pour conséquence de soulever des inquiétudes au sein des ostréiculteurs normands et renforcent leurs interrogations en termes de survie de leur production et de la pérennité de leur activité.Différentes solutions peuvent être proposées pour maintenir ces entreprises :- intervention au niveau des pratiques culturales (améliorations de ces pratiques, meilleures connaissances des pathogènes responsables de ces mortalités)- sélection génétique pour obtenir des souches moins sensibles aux pathogènes- diversification de la production.Les deux premières solutions sont actuellement testées par différents organismes de recherche comme l'IFREMER et le Centre de Référence de l'Huître. La dernière solution est plus rarement investiguée. (French)
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French oyster farming has been in difficulty for some years. Since 2008, massive mortalities of larvae and spat have been observed in hollow otters (Crassostrea gigas) in all major French production sectors, particularly during the summer period. The presence of an oyster herpetic virus is often criminalised. In 2012, in addition to spat mortality, adult (marketable) oysters suffered the same fate. In many parts of the metropolis, mortality rates may exceed 50 %. In this case, the bacterium Vibrio aestuarianus is questioned.Normanian oyster production has thus fallen in ten years from 27 000 tonnes to 21 000 tonnes today.The result is to raise concerns among Norman oyster growers and reinforce their questions in terms of the survival of their production and the sustainability of their activity.Different solutions can be proposed to maintain these companies:- intervention at the level of cultivation practices (improvements of these practices, better knowledge of pathogens responsible for these mortities)- genetic selection to obtain strains less susceptible to pathogens-research of these companies-research for different production methods. The last solution is more rarely investigated. (English)
18 November 2021
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Depuis quelques années l’ostréiculture française est en difficulté. En effet, depuis 2008, des mortalités massives de larves et de naissains sont observées chez l‚huitre creuse (Crassostrea gigas) sur l‘ensemble des grands secteurs français de production particulièrement hang la période estivale. La présence d‚un virus herpétique de l‘huître est souvent incriminée. En 2012, en plus des mortalités de naissains, les huîtres adultes (commercialisables) subissent le même sort. Dans de nombreux endroits de la métropole, les taux de Mortalité pouvant dépasser 50 %. Dans ce cas, la bactérie Vibrio aestuarianus est mise en cause.La production ostréicole normande a ainsi chuté en dix ans de 27 000 Tonnen à 21 000 Tonnen aujourd‚hui.Ce qui a pour conséquence de soulever des inquiétudes au sein des ostréiculteurs normands et renforcent leurs interrogations en termes de survie de leur production et de de survie de leur production et de de la pérennité de leur activité.Différentes solutions peuvent être proposées pour maintenir ces entreprises:- intervention au niveau des pratiques culturales (améliorations de ces pratiques, meilleures connaissances des pathogènes responsables de ces mortalités)- sélection génétique pour obtenir des souches moins sensibles aux pathogènes- Diversifizierung de la production.Les deux premières solutions sont actuellement testées par différents organismes de recherche comme l‘IFREMER et le Centre de Référence de l’Huître. La dernière Lösung est plus rarement investiguée. (German)
26 November 2021
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Identifiers
15P03704
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