ERDF — INSERM — Alloc cofin — Antoine DRIEU (Q3673345): Difference between revisions

From EU Knowledge Graph
Jump to navigation Jump to search
(‎Changed an Item: Edited by the beneficiary bot - attach the beneficiary based on the string)
(‎Changed label, description and/or aliases in de: translated_label)
label / delabel / de
 
EFRE – INSERM – Alloc kofin – Antoine DRIEU

Revision as of 14:05, 26 November 2021

Project Q3673345 in France
Language Label Description Also known as
English
ERDF — INSERM — Alloc cofin — Antoine DRIEU
Project Q3673345 in France

    Statements

    0 references
    44,149.00 Euro
    0 references
    89,149.0 Euro
    0 references
    49.52 percent
    0 references
    1 October 2015
    0 references
    31 March 2019
    0 references
    EPA INSERM INSTITUT NAT DE LA SANTE ET DE LA RECHERCHE MEDICALE
    0 references
    0 references
    75654
    0 references
    Lors d un traumatisme cranien pourtant sans troubles majeurs immédiats et lésions en imagerie cérébrale (lorsque elle est réalisée), appelés alors traumatismes crâniens légers (TCL), 30 à 60 pourcent des patients développent à distance des troubles plus ou moins sévères de mémoire et de comportement, des migraines ou une fatigue. Il est le plus souvent difficile de faire admettre aux autorités que le trauma dit léger est la cause de ces troubles neurologiques, puisque non objectivés par une imagerie cérébrale positive (scanner ou IRM). Il n en reste pas moins que ces patients vont avoir les plus grandes difficultés à retrouver des activités normales, sociales, sportives, un travail ... Cette problématique diagnostique est identique pour une autre population de patients neurologiques, victimes d un Accident Ischémique Transitoire (AIT), défini comme étant un trouble neurologique transitoire d origine vasculaire, sans infarctus objectivé en imagerie (Albers et al., 2002). Eux aussi vont dans une proportion significative développer à court, moyen ou long terme des troubles invalidants (Feinberg et al., 1994). De plus, 30 pourcent de victimes d un AIT vont souffrir un accident vasculaire cérébral permanent dans le trois mois qui suivent l AIT.Ainsi, il devient primordial pour ces deux populations de patients de « rendre visible l invisible , c est à dire de mettre, en face de ces troubles neurologiques, une atteinte du cerveau dans son intégralité. Dans ce cadre, les récents travaux de recherche menés au sein de l unité INSERM U919 dirigée par le Pr Denis VIVIEN (Institut National de la Santé Et de la Recherche en Santé) ont montré dans un modèle expérimental, qu il était possible d objectiver a posteriori un AIT, même en absence de lésion visible en imagerie cérébrale de routine Quenault et al., soumis). Cette preuve visuelle d un AIT est possible grâce au développement d outils optimisés, des microparticules paramagnétiques ciblées (MPIOs) qui mettent en évidence in vivo, l existence d une réponse vasculaire à l AIT, même discrète. Nous avons déjà validé le potentiel diagnostique et prédictif au niveau cérébral ou médullaire de ce type d imagerie (dite imagerie moléculaire haute résolution) dans diverses publications (Montagne et al., Neuroimage, 2012 ; Gauberti et al., Stroke, 2013 ; Gauberti et al., Front Cell Neurosci, in press). (French)
    0 references
    However, during a Cranial trauma without immediate major disorders and brain imaging lesions (when it is performed), then known as light head trauma (TCL), 30 to 60 percent of patients develop more or less severe memory and behavioural disorders, migraines or fatigue at a distance. It is most often difficult to get the authorities to admit that so-called mild trauma is the cause of these neurological disorders, since not objectivated by positive brain imaging (scanner or MRI). Nevertheless, these patients will have the greatest difficulties in finding normal, social, sports, work... This diagnostic problem is identical for another population of neurological patients, victims of a Transitory Ischemic Accident (ITA), defined as a transient neurological disorder of vascular origin, without objectivated imaging infarction (Albers et al., 2002). In the short, medium or long term, they are also significantly developing disabling disorders (Feinberg et al., 1994). In addition, 30 per cent of TIA victims will suffer a permanent stroke within three months of the AIT.Thus, it becomes essential for these two patient populations to "make visible the invisible, i.e. to put, in front of these neurological disorders, an injury to the brain in its entirety. In this context, recent research carried out within the INSERM U919 unit led by Professor Denis VIVIEN (Institut National de la Santé et de la Recherche en Santé) has shown in an experimental model that it is possible to objective a TIA a posteriori, even in the absence of visible lesion in routine brain imaging Quenault et al., submitted). This visual proof of an AIT is possible thanks to the development of optimised tools, targeted paramagnetic microparticles (MPIOs) that highlight in vivo, the existence of a vascular response to AIT, even discreet. We have already validated the diagnostic and predictive potential at the cerebral or medullary level of this type of imaging (so called high-resolution molecular imaging) in various publications (Montagne et al., Neuroimage, 2012; Gauberti et al., Stroke, 2013; Gauberti et al., Front Cell Neurosci, in press). (English)
    18 November 2021
    0 references

    Identifiers

    15P03530
    0 references