Development of Youth Service Cooperatives (Q3676966)
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Project Q3676966 in France
Language | Label | Description | Also known as |
---|---|---|---|
English | Development of Youth Service Cooperatives |
Project Q3676966 in France |
Statements
121,729.46 Euro
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244,240.48 Euro
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49.84 percent
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1 January 2016
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31 December 2017
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COOPERER POUR ENTREPRENDRE
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**Une Coopérative jeunesse de services (CJS) est une entreprise éphémère** portée par **un groupe d'adolescents de 16 à 18 ans**. Le temps d'un été, ils s'investissent et créent une activité dans leur quartier ou leur commune en proposant leurs services à des entreprises, des administrations et des particuliers. Ils sont en cela accompagnés par deux animateurs et un comité local, composé d'acteurs économiques (pôle de développement de l'Economie Sociale et Solidaire, Coopérative d’Activité et d’Emploi, entreprises...), de structures jeunesses et d'éducation populaire, de collectivités locales, d'acteurs institutionnels (Maisons de l'Emploi, Direction de Quartiers, etc.) et de personnes investies sur le territoire (militants associatifs, habitants...). **La CJS est à la fois un projet de territoire et un espace d'éducation à l'entrepreneuriat et à la coopération.** Ces objectifs sont multiples et complémentaires : les jeunes vont y expérimenter l'engagement, apprendre à travailler ensemble, appréhender concrètement le territoire où ils vivent, et découvrir le monde de l’entreprise. C’est aussi pour eux une expérience valorisante. Valorisation financière : ils se versent leurs premiers salaires. Valorisation personnelle : ils sont reconnus comme des acteurs du territoire. Ces coopératives un peu particulières ont été découvertes par des acteurs de l'économie sociale et solidaire, lors d'un voyage au Québec. Là-bas, elles existent depuis 25 ans et se comptent par centaines. De retour en France, ils ont adapté le concept au contexte national et ont lancé une expérimentation en Bretagne portée par le réseau Coopérer pour entreprendre, la chambre régionale de l'ESS et les pôles de développement de l'ESS. C'est ainsi que sont nées les trois premières CJS françaises en 2013 à Rennes, au cœur d'un quartier populaire, à Quintin, une commune rurale des Côtes-d'Armor, et à Quimper. En 2014, on comptait huit coopératives réparties sur deux régions (Bretagne et Pays de la Loire). En 2015, le projet a fait des émules et 21 CJS se sont concrétisées sur 6 régions (Bretagne, Pays de la Loire, Basse-Normandie, Nord Pas de Calais, Rhône Alpes et Martinique). Le projet a besoin de se **structurer nationalement et régionalement** pour répondre aux demandes d'information, **appuyer les comités locaux** porteurs de projet de CJS, **former et outiller les animateurs** qui encadreront les jeunes. Une gouvernance doit se construire pour consolider la dynamique partenariale du projet et en conserver l'ADN. Pour développer le projet à grande échelle, il est nécessaire de consolider le modèle économique des CJS, de lever les freins juridiques et techniques et de clarifier le cadre réglementaire. **L'appellation CJS dans son sens le plus strict concerne l'entreprise coopérative créée par le groupe de jeunes adolescents. Cette entreprise ne fait pas l'objet d'une entité juridique propre, elle est portée par une Coopérative d'Activités et d'Emploi (CAE). Les jeunes utilisent son n° de SIRET, facture au nom de la CAE et c'est la CAE qui porte leur rémunération (par le biais d'un contrat CAPE Contrat d'Appui au Projet d'Entreprise). La CJS dispose dans la comptabilité de la CAE d'une section analytique propre qui permet de calculer son résultat et les rémunérations des jeunes.** **En amont de la période estivale, le projet CJS est initié et mis en place par un groupe d'acteurs locaux (structures ESS, jeunesse et éducation populaire, CAE, collectivités locales, citoyens...) appelé comité local. C'est un collectif qui n'a pas d'existence juridique propre. l'un des partenaires porte juridiquement et économiquement le projet (demandes de subvention, salaire des animateurs, indemnisations des intervenants...). le comité local a pour mission de mettre en place toutes les conditions de réussite du projet CJS : recherche de financements, communication et sensibilisation des jeunes du territoire, recrutement des animateurs, encadrement des animateurs, suivi et évaluation de l'expérience et pendant la période estivale fait le lien entre la CJS et le territoire (mise en réseau, appui dans les démarches, formations complémentaires). Pour chaque CJS il y a donc un comité local qui met en place et pilote le projet.** **Dans chaque comité local 3 structures jouent un rôle prépondérant :** * **l'une anime le comité local, elle est en charge de l'organisation des réunions, la mobilisation des membres du comité local, l'organisation de la promotion du projet.... Il s'agit la plupart du temps d'une structure de l'ESS (pole de développement ESS quand ils existent), parfois d'une collectivité locale.** * **une CAE, dénommée parrain économique, porte juridiquement l'activité de la CJS, en assume la responsabilité légale et accompagne les animateurs sur le volet économique et entrepreneurial (faire les factures, établir la stratégie commerciale, calculer les prix, calculer les rémunérations....)** * **une structure jeunesse, dénommée par (French)
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**A Youth Services Cooperative (CJS) is an ephemeral enterprise** run by **a group of adolescents aged 16 to 18**. By the time of a summer, they invest and create an activity in their neighbourhood or municipality by offering their services to businesses, administrations and individuals. They are accompanied by two facilitators and a local committee, composed of economic actors (centre of development of the Social and Solidarity Economy, Coopérative d’Activité et d’Emploi, enterprises, etc.), youth structures and popular education, local authorities, institutional actors (Employment Houses, Direction de Quartiers, etc.) and persons invested in the territory (associative members, inhabitants, etc.). **The CJS is both a territorial project and an area of education for entrepreneurship and cooperation.** These objectives are multiple and complementary: young people will experience commitment, learn to work together, understand the territory in which they live, and discover the world of business. It is also a rewarding experience for them. Financial valuation: they pay their first wages. Personal valuation: they are recognised as actors in the territory. These very specific cooperatives were discovered by social and solidarity economy players during a trip to Quebec. There, they have been in existence for 25 years and are numbered by hundreds. Back in France, they adapted the concept to the national context and launched an experiment in Brittany led by the Cooperator network to undertake, the regional chamber of the ESS and the development hubs of the ESS. The first three French CJSs were born in 2013 in Rennes, in the heart of a popular neighbourhood, Quintin, a rural commune in Côtes-d’Armor, and Quimper. In 2014, there were eight cooperatives in two regions (Britain and Pays de la Loire). In 2015, the project was emulated and 21 CJS took place in 6 regions (Britain, Pays de la Loire, Basse-Normandie, Nord Pas de Calais, Rhône Alpes and Martinique). The project needs to **structure nationally and regionally** to respond to requests for information, **support local committees** project leaders of CJS, ** train and equip facilitators** to mentor youth. Governance must be built to consolidate the project’s partnership dynamics and preserve its DNA. In order to develop the project on a large scale, it is necessary to consolidate the economic model of the CJS, to remove the legal and technical barriers and to clarify the regulatory framework. **The term CJS in its strictest sense concerns the cooperative enterprise created by the group of young teenagers. This undertaking is not the subject of a legal entity of its own, it is carried by a Coopérative d’Activities et d’Emploi (CAE). Young people use its SIRET number, invoice on behalf of the CAE and it is the CAE that bears their remuneration (through a CAPE Contract Support Contract for the Enterprise Project). The CJS has an own analytical section in the accounts of the CAE which allows the calculation of its result and the remuneration of young people.**Before the summer period, the CJS project is initiated and implemented by a group of local actors (ESS structures, youth and popular education, CAE, local authorities, citizens...) called the local committee. It is a collective that has no legal existence. One of the partners legally and economically carries the project (subsidy applications, salaries of facilitators, compensation for stakeholders...). The mission of the local committee is to put in place all the conditions for success of the CJS project: research for funding, communication and awareness-raising among young people in the region, recruitment of facilitators, supervision of facilitators, monitoring and evaluation of experience and during the summer period makes the link between the CJS and the territory (networking, support in approaches, further training). For each CJS there is therefore a local committee that sets up and pilots the project.** **In each local committee 3 structures play a leading role:** * **one animates the local committee, it is in charge of organising meetings, mobilising the members of the local committee, organising the promotion of the project.... Most of the time it is a structure of the ESS (the ESS development cluster where they exist), sometimes a local authority.** * **a CAE, called economic sponsor, legally carries the activity of the CJS, assumes legal responsibility and accompanies the facilitators on the economic and entrepreneurial aspects (make invoices, establish the commercial strategy, calculate prices, calculate remuneration....)** **a youth structure, named by (English)
18 November 2021
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**Eine Jugendgenossenschaft (CJS) ist ein kurzlebiges Unternehmen**, das von ** einer Gruppe von Jugendlichen im Alter von 16 bis 18 Jahren** unterstützt wird. Im Sommer engagieren sie sich und gründen eine Tätigkeit in ihrer Nachbarschaft oder Gemeinde, indem sie ihre Dienstleistungen Unternehmen, Verwaltungen und Privatpersonen anbieten. Sie werden dabei von zwei Moderatoren und einem lokalen Ausschuss begleitet, der sich aus Wirtschaftsakteuren (Zentrum für die Entwicklung der Sozial- und Solidarwirtschaft, Genossenschaften für Aktivitäten und Beschäftigung, Unternehmen), Jugend- und Volksbildungsstrukturen, lokalen Gebietskörperschaften, institutionellen Akteuren (Arbeitsgemeinschaften, Bezirksdirektion usw.) und in der Region tätigen Personen (Vereinigungsaktivisten, Einwohner usw.) zusammensetzt. **Die CJS ist sowohl ein Gebietsprojekt als auch ein Raum der Erziehung zu Unternehmertum und Zusammenarbeit. ** Diese Ziele sind vielfältig und komplementär: die jungen Menschen werden das Engagement erleben, zusammenarbeiten lernen, das Gebiet, in dem sie leben, konkret verstehen und die Welt des Unternehmens entdecken. Es ist auch für sie eine wertvolle Erfahrung. Finanzielle Bewertung: Sie zahlen sich ihre ersten Gehälter. Persönliche Bewertung: Sie werden als Akteure des Territoriums anerkannt. Diese etwas besonderen Genossenschaften wurden auf einer Reise nach Québec von Akteuren der Sozial- und Solidarwirtschaft entdeckt. Dort gibt es sie seit 25 Jahren und Hunderte. Nach ihrer Rückkehr in Frankreich haben sie das Konzept an den nationalen Kontext angepasst und ein Experiment in der Bretagne gestartet, das vom Netzwerk Cooperiert wurde, um zu unternehmen, die Regionalkammer der ESS und die Entwicklungszentren der SSW. So entstanden 2013 die ersten drei französischen CJS in Rennes, im Herzen eines beliebten Viertels, in Quintin, einer ländlichen Gemeinde der Côtes-d’Armor und in Quimper. 2014 gab es acht Genossenschaften in zwei Regionen (Bretagne und Pays de la Loire). Im Jahr 2015 wurden im Rahmen des Projekts emulierte und 21 CJS in 6 Regionen (Bretagne, Pays de la Loire, Basse-Normandie, Nord Pas de Calais, Rhône Alpes und Martinique) umgesetzt. Das Projekt muss sich auf nationaler und regionaler Ebene strukturieren, um auf Informationsanfragen zu reagieren, ** die lokalen Komitees**, die Träger von CJS-Projekten sind, zu unterstützen und die Moderatoren**, die die Jugendlichen betreuen, auszubilden und auszubilden. Eine Governance muss aufgebaut werden, um die partnerschaftliche Dynamik des Projekts zu festigen und die DNA des Projekts zu erhalten. Um das groß angelegte Projekt weiterzuentwickeln, ist es notwendig, das Geschäftsmodell der CJS zu konsolidieren, rechtliche und technische Hindernisse zu beseitigen und den Regelungsrahmen zu präzisieren. **Die Bezeichnung CJS im engeren Sinne bezieht sich auf das kooperative Unternehmen, das von der Gruppe junger Jugendlicher gegründet wurde. Dieses Unternehmen ist nicht Gegenstand einer eigenen juristischen Person, sondern wird von einer Genossenschaft für Aktivitäten und Beschäftigung (CAE) geführt. Junge Menschen nutzen ihre SIRET-Nummer, Rechnung im Namen der CAE, und die CAE trägt ihre Vergütung (durch einen Vertrag über die Unterstützung des Unternehmensprojekts). Der CJS verfügt über einen eigenen analytischen Abschnitt in der Rechnungsführung der CAE, der es ermöglicht, das Ergebnis und die Vergütung der Jugendlichen zu berechnen. ****Vor der Sommerzeit wird das CJS-Projekt von einer Gruppe lokaler Akteure (ESS-Strukturen, Jugend- und Volksbildung, EAG, lokale Gebietskörperschaften, Bürger...) initiiert und durchgeführt, die als lokaler Ausschuss bezeichnet wird. Es ist ein Kollektiv, das keine eigene rechtliche Existenz hat. Einer der Partner trägt das Projekt rechtlich und wirtschaftlich (Zuschussanträge, Gehalt der Moderatoren, Entschädigung der Beteiligten...). Die Aufgabe des lokalen Komitees besteht darin, alle Voraussetzungen für den Erfolg des CJS-Projekts zu schaffen: Suche nach Finanzmitteln, Kommunikation und Sensibilisierung der Jugendlichen in der Region, Einstellung von Animateuren, Betreuung der Moderatoren, Überwachung und Bewertung der Erfahrungen und während der Sommermonate wird die Verbindung zwischen dem CJS und dem Gebiet hergestellt (Vernetzung, Unterstützung bei den Maßnahmen, zusätzliche Schulungen). Für jeden CJS gibt es also ein lokales Komitee, das das Projekt einrichtet und leitet. ***In jedem lokalen Ausschuss spielen 3 Strukturen eine führende Rolle:** ***eines der lokalen Komitees ist für die Organisation der Sitzungen, die Mobilisierung der Mitglieder des lokalen Komitees, die Organisation der Projektförderung zuständig. Es handelt sich zumeist um eine Struktur der SSW (soweit vorhanden) und manchmal um eine lokale Gebietskörperschaft. (German)
1 December 2021
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**Een coöperatie voor jeugddiensten (CJS) is een tijdelijke onderneming** die wordt beheerd door **een groep adolescenten van 16 tot 18 jaar**. Tegen de tijd van de zomer investeren en creëren ze een activiteit in hun buurt of gemeente door hun diensten aan te bieden aan bedrijven, overheden en particulieren. Zij worden vergezeld door twee facilitators en een lokaal comité, bestaande uit economische actoren (centrum voor de ontwikkeling van de sociale en solidaire economie, Coopérative d’Activité et d’Emploi, ondernemingen, enz.), jeugdstructuren en volksonderwijs, lokale overheden, institutionele actoren (Werkgelegenheidshuizen, Directie de Quartiers, enz.) en personen die in het gebied zijn geïnvesteerd (leden van verenigingen, inwoners, enz.). **Het CJS is zowel een territoriaal project als een gebied van onderwijs voor ondernemerschap en samenwerking.** Deze doelstellingen zijn talrijk en complementair: jongeren zullen betrokkenheid ervaren, leren samenwerken, het grondgebied waarin ze leven begrijpen en de wereld van het bedrijfsleven ontdekken. Het is ook een lonende ervaring voor hen. Financiële waardering: ze betalen hun eerste loon. Persoonlijke waardering: zij worden erkend als actoren op het grondgebied. Deze zeer specifieke coöperaties werden ontdekt door actoren uit de sociale en solidaire economie tijdens een reis naar Quebec. Daar bestaan ze al 25 jaar en zijn er honderden. In Frankrijk pasten zij het concept aan de nationale context aan en startten zij een experiment in Bretagne onder leiding van het Cooperator-netwerk, de regionale kamer van het ESS en de ontwikkelingshubs van het ESS. De eerste drie Franse CJSS werden geboren in 2013 in Rennes, in het hart van een populaire buurt, Quintin, een landelijke gemeente in Côtes-d’Armor, en Quimper. In 2014 waren er acht coöperaties in twee regio’s (Britain en Pays de la Loire). In 2015 werd het project geëmuleerd en vonden 21 CJS plaats in 6 regio’s (Britain, Pays de la Loire, Basse-Normandie, Nord Pas de Calais, Rhône Alpes en Martinique). Het project moet ** nationaal en regionaal ** structureren om te reageren op verzoeken om informatie, ** ondersteuning bieden aan lokale comités** projectleiders van CJS, ** facilitators opleiden en uitrusten** om jongeren te begeleiden. Governance moet worden opgebouwd om de partnerschapsdynamiek van het project te consolideren en het DNA ervan te behouden. Om het project op grote schaal te ontwikkelen, moet het economische model van de GJS worden geconsolideerd, moeten de juridische en technische belemmeringen worden weggenomen en moet het regelgevingskader worden verduidelijkt. **De term CJS in zijn striktste zin heeft betrekking op de coöperatieve onderneming die door de groep jonge tieners is opgericht. Deze onderneming is niet het voorwerp van een eigen juridische entiteit, maar wordt uitgevoerd door een Coopérative d’Activities et d’Emploi (CAE). Jongeren gebruiken hun SIRET-nummer, factureren namens de CAE en het is de CAE die hun vergoeding draagt (via een CAPE Contract Support Contract for the Enterprise Project). Het CJS heeft een eigen analytische sectie in de rekeningen van de CAE die het mogelijk maakt het resultaat en de beloning van jongeren te berekenen.**Voor de zomerperiode wordt het CJS-project geïnitieerd en uitgevoerd door een groep lokale actoren (ESS-structuren, jeugd- en volksonderwijs, CAE, lokale overheden, burgers...) genaamd het lokale comité. Het is een collectief dat geen juridisch bestaan heeft. Een van de partners draagt juridisch en economisch het project (subsidieaanvragen, salarissen van facilitators, compensatie voor belanghebbenden...). De opdracht van de lokale commissie is om alle voorwaarden voor succes van het CJS-project te creëren: onderzoek voor financiering, communicatie en bewustmaking van jongeren in de regio, aanwerving van facilitators, toezicht op facilitators, monitoring en evaluatie van ervaringen en tijdens de zomerperiode maakt het verband tussen het CJS en het grondgebied (netwerken, ondersteuning bij benaderingen, bijscholing). Voor elke CJS is er daarom een lokaal comité dat het project opricht en proeft.** **In elke lokale commissie spelen 3 structuren een leidende rol:** * **een beziet het lokale comité, het is belast met het organiseren van vergaderingen, het mobiliseren van de leden van het lokale comité, het organiseren van de promotie van het project.... Meestal is het een structuur van het ESS (de ESS-ontwikkelingscluster waar deze bestaan), soms een lokale overheid.** * **een CAE, die economisch sponsor wordt genoemd, voert wettelijk de activiteit van het CJS uit, neemt de wettelijke verantwoordelijkheid op zich en begeleidt de facilitators voor de economische en zakelijke aspecten (facturen maken, de commerciële strategie vaststellen, prijzen berekenen, beloning berekenen....)**een jeugdstructuur, genoemd door (Dutch)
6 December 2021
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**A Youth Services Cooperative (CJS) è un'impresa effimera** gestita da un gruppo di adolescenti di età compresa tra i 16 e i 18 anni. Al momento di un'estate, investono e creano un'attività nel loro quartiere o comune offrendo i loro servizi a imprese, amministrazioni e privati. Essi sono accompagnati da due facilitatori e da un comitato locale, composto da attori economici (centro di sviluppo dell'economia sociale e solidale, Coopérative d'Activité et d'Emploi, imprese, ecc.), strutture giovanili e istruzione popolare, autorità locali, attori istituzionali (Case dell'occupazione, Direzione dei Quartieri, ecc.) e persone investite nel territorio (membri associativi, abitanti, ecc.). **Il CJS è sia un progetto territoriale che un'area di educazione all'imprenditorialità e alla cooperazione.** Questi obiettivi sono molteplici e complementari: i giovani potranno sperimentare l'impegno, imparare a lavorare insieme, capire il territorio in cui vivono, e scoprire il mondo del business. È anche un'esperienza gratificante per loro. Valutazione finanziaria: pagano il loro primo stipendio. Valutazione personale: sono riconosciuti come attori sul territorio. Queste cooperative molto specifiche sono state scoperte dagli attori dell'economia sociale e solidale durante un viaggio in Quebec. Lì, esistono da 25 anni e sono numerati da centinaia. Tornati in Francia, hanno adattato il concetto al contesto nazionale e hanno lanciato un esperimento in Bretagna guidato dalla rete Cooperator per intraprendere, la camera regionale dell'SSE e i poli di sviluppo dell'SSE. I primi tre CJSS francesi sono nati nel 2013 a Rennes, nel cuore di un quartiere popolare, Quintin, comune rurale in Côtes-d'Armor, e Quimper. Nel 2014 vi erano otto cooperative in due regioni (Britain e Pays de la Loire). Nel 2015 il progetto è stato emulato e 21 CJS si sono svolti in 6 regioni (Britain, Pays de la Loire, Basse-Normandie, Nord Pas de Calais, Rodano Alpes e Martinica). Il progetto deve **strutturare a livello nazionale e regionale** per rispondere alle richieste di informazioni, ** sostenere i comitati locali** i responsabili dei progetti di CJS, ** formare e dotare i facilitatori** di mentore i giovani. La governance deve essere costruita per consolidare le dinamiche di partenariato del progetto e preservare il suo DNA. Al fine di sviluppare il progetto su larga scala, è necessario consolidare il modello economico del CJS, rimuovere gli ostacoli giuridici e tecnici e chiarire il quadro normativo. **Il termine CJS nel suo senso più stretto riguarda l'impresa cooperativa creata dal gruppo di giovani adolescenti. Tale impresa non è oggetto di una propria entità giuridica, ma è assicurata da una Coopérative d'Activities et d'Emploi (CAE). I giovani utilizzano il proprio numero SIRET, fattura per conto del CAE ed è il CAE che sopporta la loro retribuzione (attraverso un contratto di sostegno CAPE per il progetto Enterprise). Il CJS ha una propria sezione analitica nei conti del CAE che consente il calcolo del suo risultato e la retribuzione dei giovani.**Prima del periodo estivo, il progetto CJS è avviato e attuato da un gruppo di attori locali (strutture SSE, giovani e istruzione popolare, CAE, autorità locali, cittadini...) chiamato il comitato locale. Si tratta di un collettivo che non ha alcuna esistenza giuridica. Uno dei partner legalmente ed economicamente porta il progetto (domande di sovvenzione, stipendi dei facilitatori, compensazione per le parti interessate...). La missione del comitato locale è di mettere in atto tutte le condizioni per il successo del progetto CJS: la ricerca di finanziamenti, comunicazione e sensibilizzazione tra i giovani della regione, l'assunzione di facilitatori, la supervisione dei facilitatori, il monitoraggio e la valutazione dell'esperienza e durante il periodo estivo rendono il collegamento tra il CJS e il territorio (networking, sostegno agli approcci, perfezionamento professionale). Per ogni CJS esiste quindi un comitato locale che istituisce e pilota il progetto.****In ogni comitato locale 3 strutture svolgono un ruolo di primo piano:** * **uno anima il comitato locale, è incaricato di organizzare riunioni, mobilitare i membri del comitato locale, organizzare la promozione del progetto.... La maggior parte delle volte è una struttura dell'SSE (il cluster di sviluppo dell'SSE dove esistono), a volte un'autorità locale.** * ** un CAE, chiamato sponsor economico, svolge legalmente l'attività del CJS, si assume la responsabilità giuridica e accompagna i facilitatori sugli aspetti economici e imprenditoriali (fattura fatture, stabilire la strategia commerciale, calcolare i prezzi, calcolare la remunerazione....)****una struttura giovanile, nominata da (Italian)
13 January 2022
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** Una Cooperativa de Servicios Juveniles (CJS) es una empresa efímera** dirigida por **un grupo de adolescentes de 16 a 18 años**. Para el verano, invierten y crean una actividad en su barrio o municipio ofreciendo sus servicios a empresas, administraciones y particulares. Van acompañados por dos facilitadores y un comité local, compuesto por actores económicos (centro de desarrollo de la Economía Social y Solidaria, Coopérative d’Activité et d’Emploi, empresas, etc.), estructuras juveniles y educación popular, autoridades locales, actores institucionales (casas de empleo, Dirección de Quartiers, etc.) y personas invertidas en el territorio (miembros asociativos, habitantes, etc.). **El CJS es a la vez un proyecto territorial y un área de educación para el emprendimiento y la cooperación.** Estos objetivos son múltiples y complementarios: los jóvenes experimentarán compromiso, aprenderán a trabajar juntos, comprenderán el territorio en el que viven y descubrirán el mundo de los negocios. También es una experiencia gratificante para ellos. Valoración financiera: pagan sus primeros salarios. Valoración personal: son reconocidos como actores en el territorio. Estas cooperativas muy específicas fueron descubiertas por actores de la economía social y solidaria durante un viaje a Quebec. Allí, han estado en existencia durante 25 años y están contados por cientos. De vuelta en Francia, adaptaron el concepto al contexto nacional y lanzaron un experimento en Bretaña dirigido por la red Cooper a emprender, la cámara regional del SEE y los centros de desarrollo del SEE. Los tres primeros CJSS franceses nacieron en 2013 en Rennes, en el corazón de un barrio popular, Quintin, una comuna rural en Côtes-d’Armor, y Quimper. En 2014, había ocho cooperativas en dos regiones (Britain y Pays de la Loire). En 2015, el proyecto fue emulado y 21 CJS tuvieron lugar en 6 regiones (Britain, Pays de la Loire, Basse-Normandie, Nord Pas de Calais, Ródano Alpes y Martinica). El proyecto necesita ** estructurar a nivel nacional y regional** para responder a las solicitudes de información, ** apoyar a los comités locales** responsables de proyectos de la CJS, ** capacitar y equipar a facilitadores** para orientar a los jóvenes. La gobernanza debe construirse para consolidar la dinámica de asociación del proyecto y preservar su ADN. Con el fin de desarrollar el proyecto a gran escala, es necesario consolidar el modelo económico de la ECC, eliminar los obstáculos jurídicos y técnicos y aclarar el marco regulador. **El término CJS en su sentido más estricto se refiere a la empresa cooperativa creada por el grupo de jóvenes adolescentes. Esta empresa no es objeto de una entidad jurídica propia, sino que está a cargo de una Coopérative d’Activities et d’Emploi (CAE). Los jóvenes utilizan su número SIRET, factura en nombre de la CAE y es la CAE la que soporta su remuneración (a través de un Contrato de Apoyo al Contrato CAPE para el Proyecto Empresarial). El CJS cuenta con una sección analítica propia en las cuentas de la CAE que permite el cálculo de su resultado y la remuneración de los jóvenes.**Antes del período estival, el proyecto CJS es iniciado e implementado por un grupo de actores locales (estructuras del SEE, educación juvenil y popular, CAE, autoridades locales, ciudadanos...) denominado comité local. Es un colectivo que no tiene existencia legal. Uno de los socios legal y económicamente lleva el proyecto (solicitudes de subvenciones, salarios de facilitadores, compensación a las partes interesadas...). La misión del comité local es poner en marcha todas las condiciones para el éxito del proyecto CJS: la investigación para la financiación, la comunicación y la sensibilización de los jóvenes de la región, la contratación de facilitadores, la supervisión de los facilitadores, el seguimiento y la evaluación de la experiencia y durante el período estival establecen el vínculo entre la JJC y el territorio (redes, apoyo en enfoques, formación continua). Por lo tanto, para cada CJS hay un comité local que establece y pone a prueba el proyecto.** **En cada comité local 3 estructuras desempeñan un papel de liderazgo:** * ** uno anima al comité local, se encarga de organizar reuniones, movilizar a los miembros del comité local, organizar la promoción del proyecto.... La mayoría de las veces es una estructura del SEE (el clúster de desarrollo del SEE donde existen), a veces una autoridad local.** * ** un CAE, llamado patrocinador económico, lleva legalmente la actividad del CJS, asume la responsabilidad legal y acompaña a los facilitadores en los aspectos económicos y empresariales (hacer facturas, establecer la estrategia comercial, calcular precios, calcular la remuneración....)**** una estructura juvenil, nombrada por (Spanish)
14 January 2022
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Identifiers
201505737
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