HN0002786 — METROPOLIS ROUEN NORMANDIE — KNOWLEDGE AND RESTORATION OF THE SILICICULTURE AND CALCICULTURE COMMUNITIES OF THE METROPOLIS ROUEN NORMANDIE (Q3680921)
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Project Q3680921 in France
Language | Label | Description | Also known as |
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English | HN0002786 — METROPOLIS ROUEN NORMANDIE — KNOWLEDGE AND RESTORATION OF THE SILICICULTURE AND CALCICULTURE COMMUNITIES OF THE METROPOLIS ROUEN NORMANDIE |
Project Q3680921 in France |
Statements
620,996.00 Euro
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1,634,200.0 Euro
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38.0 percent
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30 June 2022
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METROPOLE ROUEN NORMANDIE
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76000
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La Métropole Rouen Normandie a décidé d'améliorer son attractivité au niveau régional, national et international. Cette attractivité suppose notamment d'offrir aux habitants et aux salariés, ainsi qu'aux touristes, des conditions socio- économiques favorables, mais également un cadre et une qualité de vie remarquables. Des espaces naturels de qualité contribuent directement à cette volonté affirmée.Pour cela, il est essentiel d'associer la protection des milieux naturels, notamment réglementaire (code de l'Environnement, SRCE, SCOT, PLU/PLU intercommunal à venir, etc.), et la préservation ou la restauration des réservoirs de biodiversité, ainsi que des corridors écologiques, qui permettent le maintien d'un bon état fonctionnel/écologique de ces réservoirs sur l'ensemble du territoire de la Métropole et en relation avec les territoires limitrophes.A l'échelle régionale, le SRCE rappelle que les milieux silicicoles, et notamment les pelouses silicicoles, constituent des milieux ouverts très particuliers, abritant une flore et une faune rares, hautement patrimoniales. Ces milieux sont peu développés et limités aux terrasses alluviales de la Seine. Malgré cette rareté, la Haute Normandie présente encore les plus beaux ensembles silicicoles du quart Nord-Ouest de la France. Le SRCE incite donc fortement l'ensemble des acteurs régionaux, et notamment les collectivités locales et/ou les gestionnaires d'espaces naturels ou d'espaces verts, à protéger et gérer les dernières pelouses silicicoles du territoire. Il est notamment proposé clans le SRCE de renforcer la protection réglementaire de ces milieux, et clans la mesure du possible, leur acquisition par un organisme compétent.A l'échelle de la Métropole, en s'appuyant sur les données du SRCE affinées à la marge pour le projet de SCOT arrêté en novembre 2014 et en excluant les données SRCE de sites déjà urbanisés (voirie, habitats, zone d'activités...), les réservoirs silicicoles représentent une surface de 147 ha et les corridors silicicoles une surface de 224 ha. Des zones silicicoles dites complémentaires ont également été identifiées, pour une surface de 238 ha. Ces zones complémentaires, non retenues en tant que réservoirs ou corridors à l'heure actuelle, offrent cependant des caractéristiques en matière d'habitat favorable au développement d'une faune et d'une flore propre aux milieux silicicoles. Au total, ce sont donc un peu moins de 600 ha de milieux silicicoles présents sur le territoire de la Métropole, dont plus de 55% sont sous maîtrise publique. Cependant, l'analyse des documents d'urbanisme (PLU) permet de constater que plus de 200 ha de ces espaces sont actuellement classés « AU » (A urbaniser), et plus de 100 ha classés « N autres vocations » (comprenant notamment les sites d'autorisation d'activités d'extraction).La Métropole se propose donc d'engager une vaste étude portant sur les milieux silicicoles de son territoire. Elle envisage également de restaurer un site silicicole de 200 ha sur les communes de Bardouville et d'Anneville-Ambourville.Les milieux calcicoles sont également identifiés au niveau régional par le SRCE comme étant fortement menacés. Cela se confirme sur le territoire de la Métropole. Un peu plus de 300 ha ont été recensés dans le cadre d'un partenariat engagé depuis 2012 avec le Conservatoire d'Espaces Naturels de Haute-Normandie. Parmi ces 300 ha, prés de 40 % sont en situation de non gestion et s'enfrichent peu à peu. Ces 128 ha sont à 89 % privés. Cette fermeture du milieu entraîne le déclin de la biodiversité patrimoniale de l'ensemble des milieux calcicoles remarquables. La Métropole se propose également d'intervenir en faveur de la restauration et de la préservation de ces habitats typiques de la Vallée de Seine. (French)
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The Métropole Rouen Normandie has decided to improve its attractiveness at regional, national and international level. This attractiveness includes providing people and employees, as well as tourists, with favourable socio-economic conditions, but also a remarkable environment and quality of life. Quality natural areas contribute directly to this stated desire.For this, it is essential to associate the protection of natural habitats, in particular regulations (environmental code, SRCE, SCOT, PLU/PLU intercommunal to come, etc.), and the preservation or restoration of biodiversity reservoirs, as well as ecological corridors, which allow the maintenance of a good functional/ecological status of these reservoirs throughout the metropolis and in relation to the neighbouring territories.At the regional level, the SRCE recalls that the silica-growing environment, and in particular the siliciculture lawns, are very special open environments, home to rare, highly heritage flora and fauna. These environments are undeveloped and limited to the alluvial terraces of the Seine. Despite this rarity, Haute Normandie still presents the finest siliciculture ensembles in the northwest quarter of France. The SRCE therefore strongly encourages all regional actors, in particular local authorities and/or managers of natural areas or green areas, to protect and manage the last siliciculture lawns in the territory. In particular, the CNRS is proposed to strengthen the regulatory protection of these environments, and to the extent possible, their acquisition by a competent body.At the Metropole scale, drawing on the SRCE data refined at the margin for the SCOT project agreed in November 2014, and excluding CERS data from already urbanised sites (roads, habitats, area of activity...), siliciculture reservoirs represent an area of 147 ha and siliciculture corridors an area of 224 ha. So-called complementary silica-growing areas have also been identified, covering an area of 238 ha. These complementary areas, which are not currently retained as reservoirs or corridors, however, offer habitat characteristics conducive to the development of fauna and flora specific to the silica-growing environment. In total, it is a little less than 600 ha of silicon farming in the Métropole, of which more than 55 % are under public control. However, the analysis of urban planning documents (PLU) shows that more than 200 ha of these areas are currently classified as “AU” (A urbaniser), and more than 100 ha classified as “N other vocations” (including sites for the authorisation of extraction activities).The Métropole therefore proposes to undertake a wide-ranging study of the siliciculture media in its territory. It is also considering the restoration of a 200 ha siliciculture site in the municipalities of Bardouville and Anneville-Ambourville. Calcicultural habitats are also identified at regional level by the SRCE as being highly threatened. This is confirmed on the territory of the Metropolis. Just over 300 ha have been identified as part of a partnership initiated since 2012 with the Conservatoire d’Espaces Naturels in Haute-Normandie. Of these 300 ha, almost 40 % are unmanaged and are gradually getting worse. These 128 ha are 89 % private. This closure of the environment results in the decline of the heritage biodiversity of all remarkable calciculture habitats. The Métropole also proposes to intervene in favour of the restoration and preservation of these habitats typical of the Seine Valley. (English)
18 November 2021
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Identifiers
17P04865
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