Q3680921 (Q3680921): Difference between revisions

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Property / coordinate location
 
49°26'26.38"N, 1°5'45.06"E
Latitude49.440657768908
Longitude1.0958524327913
Precision1.0E-5
Globehttp://www.wikidata.org/entity/Q2
Property / coordinate location: 49°26'26.38"N, 1°5'45.06"E / rank
 
Normal rank

Revision as of 09:32, 18 November 2021

Project Q3680921 in France
Language Label Description Also known as
English
No label defined
Project Q3680921 in France

    Statements

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    620,996.00 Euro
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    1,634,200.0 Euro
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    38.0 percent
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    30 June 2022
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    METROPOLE ROUEN NORMANDIE
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    49°26'26.38"N, 1°5'45.06"E
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    76000
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    La Métropole Rouen Normandie a décidé d'améliorer son attractivité au niveau régional, national et international. Cette attractivité suppose notamment d'offrir aux habitants et aux salariés, ainsi qu'aux touristes, des conditions socio- économiques favorables, mais également un cadre et une qualité de vie remarquables. Des espaces naturels de qualité contribuent directement à cette volonté affirmée.Pour cela, il est essentiel d'associer la protection des milieux naturels, notamment réglementaire (code de l'Environnement, SRCE, SCOT, PLU/PLU intercommunal à venir, etc.), et la préservation ou la restauration des réservoirs de biodiversité, ainsi que des corridors écologiques, qui permettent le maintien d'un bon état fonctionnel/écologique de ces réservoirs sur l'ensemble du territoire de la Métropole et en relation avec les territoires limitrophes.A l'échelle régionale, le SRCE rappelle que les milieux silicicoles, et notamment les pelouses silicicoles, constituent des milieux ouverts très particuliers, abritant une flore et une faune rares, hautement patrimoniales. Ces milieux sont peu développés et limités aux terrasses alluviales de la Seine. Malgré cette rareté, la Haute Normandie présente encore les plus beaux ensembles silicicoles du quart Nord-Ouest de la France. Le SRCE incite donc fortement l'ensemble des acteurs régionaux, et notamment les collectivités locales et/ou les gestionnaires d'espaces naturels ou d'espaces verts, à protéger et gérer les dernières pelouses silicicoles du territoire. Il est notamment proposé clans le SRCE de renforcer la protection réglementaire de ces milieux, et clans la mesure du possible, leur acquisition par un organisme compétent.A l'échelle de la Métropole, en s'appuyant sur les données du SRCE affinées à la marge pour le projet de SCOT arrêté en novembre 2014 et en excluant les données SRCE de sites déjà urbanisés (voirie, habitats, zone d'activités...), les réservoirs silicicoles représentent une surface de 147 ha et les corridors silicicoles une surface de 224 ha. Des zones silicicoles dites complémentaires ont également été identifiées, pour une surface de 238 ha. Ces zones complémentaires, non retenues en tant que réservoirs ou corridors à l'heure actuelle, offrent cependant des caractéristiques en matière d'habitat favorable au développement d'une faune et d'une flore propre aux milieux silicicoles. Au total, ce sont donc un peu moins de 600 ha de milieux silicicoles présents sur le territoire de la Métropole, dont plus de 55% sont sous maîtrise publique. Cependant, l'analyse des documents d'urbanisme (PLU) permet de constater que plus de 200 ha de ces espaces sont actuellement classés « AU » (A urbaniser), et plus de 100 ha classés « N autres vocations » (comprenant notamment les sites d'autorisation d'activités d'extraction).La Métropole se propose donc d'engager une vaste étude portant sur les milieux silicicoles de son territoire. Elle envisage également de restaurer un site silicicole de 200 ha sur les communes de Bardouville et d'Anneville-Ambourville.Les milieux calcicoles sont également identifiés au niveau régional par le SRCE comme étant fortement menacés. Cela se confirme sur le territoire de la Métropole. Un peu plus de 300 ha ont été recensés dans le cadre d'un partenariat engagé depuis 2012 avec le Conservatoire d'Espaces Naturels de Haute-Normandie. Parmi ces 300 ha, prés de 40 % sont en situation de non gestion et s'enfrichent peu à peu. Ces 128 ha sont à 89 % privés. Cette fermeture du milieu entraîne le déclin de la biodiversité patrimoniale de l'ensemble des milieux calcicoles remarquables. La Métropole se propose également d'intervenir en faveur de la restauration et de la préservation de ces habitats typiques de la Vallée de Seine. (French)
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    Identifiers

    17P04865
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