PERCEPTIVE LEARNING IN ANIMALS AND HUMANS: COMPARISON AND MODULATION OF SALIENCE (Q3138023): Difference between revisions
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(Created claim: summary (P836): LE PHÉNOMÈNE DE L’APPRENTISSAGE PERCEPTIF SE RÉFÈRE À L’OBSERVATION QUE L’EXPÉRIENCE DE DEUX STIMULI SIMILAIRES FACILITE LEUR DISCRIMINATION ULTÉRIEURE. CE PHÉNOMÈNE A ÉTÉ ÉTUDIÉ EN UTILISANT DES ANIMAUX NON HUMAINS COMME SUJETS ET ON A SUPPOSÉ QUE LES MÉCANISMES DE BASE DE LA PERCEPTION ET DE L’APPRENTISSAGE SONT GÉNÉRAUX ET QUE LES RÉSULTATS DE CES ÉTUDES ONT UNE APPLICABILITÉ GÉNÉRALE, Y COMPRIS NOTRE PROPRE ESPÈCE. SUR LA BASE DES MODÈLES IS...) |
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LE PHÉNOMÈNE DE L’APPRENTISSAGE PERCEPTIF SE RÉFÈRE À L’OBSERVATION QUE L’EXPÉRIENCE DE DEUX STIMULI SIMILAIRES FACILITE LEUR DISCRIMINATION ULTÉRIEURE. CE PHÉNOMÈNE A ÉTÉ ÉTUDIÉ EN UTILISANT DES ANIMAUX NON HUMAINS COMME SUJETS ET ON A SUPPOSÉ QUE LES MÉCANISMES DE BASE DE LA PERCEPTION ET DE L’APPRENTISSAGE SONT GÉNÉRAUX ET QUE LES RÉSULTATS DE CES ÉTUDES ONT UNE APPLICABILITÉ GÉNÉRALE, Y COMPRIS NOTRE PROPRE ESPÈCE. SUR LA BASE DES MODÈLES ISSUS DE L’EXPÉRIMENTATION ANIMALE, UNE SÉRIE D’ÉTUDES MENÉES AVEC L’HOMME ONT CONFIRMÉ LES EFFETS FONDAMENTAUX DE L’APPRENTISSAGE PERCEPTIF, PRÉVISIBLE À PARTIR DE MODÈLES THÉORIQUES DE MODULATION DE SALIENCE, MAIS ONT ÉGALEMENT MIS EN ÉVIDENCE CERTAINS PHÉNOMÈNES QUI NE CORRESPONDENT PAS ET QUI, EN PRINCIPE, PEUVENT SEMBLER SPÉCIFIQUES AUX HUMAINS, COMME LE PROCESSUS DE COMPARAISON. TOUS LES EFFETS OBSERVÉS DANS LES ÉTUDES HUMAINES SEMBLENT INDIQUER, SUIVANT L’IDÉE ORIGINALE PROPOSÉE PAR GIBSON (1956), QUE LA COMPARAISON EST ESSENTIELLE POUR L’APPRENTISSAGE PERCEPTIF. LE PROCESSUS DE COMPARAISON ABOUTIRAIT À UNE PLUS GRANDE SALIENCE DES CARACTÉRISTIQUES UNIQUES, SOIT EN RAISON D’UN PROCESSUS D’HABITUATION OU D’ADAPTATION À COURT TERME QUI ENTRAÎNERAIT UNE PLUS GRANDE ATTENTION VERS ELLES OU UNE MEILLEURE REPRÉSENTATION DE CES CARACTÉRISTIQUES EN MÉMOIRE. INVERSEMENT, DANS LE CAS DES ÉTUDES SUR LES ANIMAUX, LA PROCÉDURE UTILISÉE NE FAVORISE PAS LA COMPARAISON ET, LORSQUE DES MANIPULATIONS APPROPRIÉES ONT ÉTÉ EFFECTUÉES POUR PROMOUVOIR LEUR PERFORMANCE, LES RÉSULTATS ONT ÉTÉ AMBIGUS. EN FAIT, DANS UN RÉCENT EXAMEN, MITCHELL ET HALL (2014) CONCLUENT QUE LA DIFFÉRENCE DANS LA CAPACITÉ DE BÉNÉFICIER DE LA POSSIBILITÉ DE COMPARER LES STIMULI POURRAIT CONSTITUER UNE DISTINCTION IMPORTANTE ENTRE L’EFFET D’APPRENTISSAGE PERCEPTIF SUR LES ANIMAUX ET LES HUMAINS. D’AUTRE PART, LES RÉSULTATS DIVERGENTS OBTENUS CHEZ L’HOMME PEUVENT ÊTRE DUS À D’AUTRES CARACTÉRISTIQUES DE LA PROCÉDURE UTILISÉE. LA PLUPART DES ÉTUDES UTILISENT DES STIMULI VISUELS COMPLEXES, TELS QUE DES BARRAGES DE COULEUR, AVEC UN FOND COMMUN ET DES CARACTÉRISTIQUES UNIQUES AVEC UNE COULEUR, UNE FORME ET UNE POSITION SPÉCIFIQUES. EN UTILISANT CE TYPE DE STIMULUS, ON NE PEUT EXCLURE QUE L’EFFET OBSERVÉ SOIT DÛ À UN APPRENTISSAGE SUPERVISÉ ET NON À UNE SIMPLE EXPOSITION. CELA REND LA PROCÉDURE UTILISÉE SEMBLABLE AU PARADIGME CLASSIQUE DE LA DISCRIMINATION ET NE PEUT PAS ÊTRE CONSIDÉRÉE COMME UN APPRENTISSAGE PERCEPTIF. PAR CONSÉQUENT, L’OBJECTIF DE CE PROJET EST DE RÉALISER UNE SÉRIE D’EXPÉRIENCES SUR DES SUJETS ANIMAUX, EN UTILISANT DES PROCÉDURES POUR MONTRER QUE LE PROCESSUS DE COMPARAISON FONCTIONNE ÉGALEMENT SUR DES ANIMAUX NON HUMAINS ET UNE SÉRIE D’EXPÉRIENCES AVEC DES HUMAINS QUI PERMETTENT DE DÉTERMINER SI LES STIMULI NORMALEMENT UTILISÉS SONT APPROPRIÉS OU PLUTÔT CE QUI EST UTILISÉ EST UNE PROCÉDURE D’APPRENTISSAGE DISCRIMINANT. CONCEVOIR UNE NOUVELLE PROCÉDURE AVEC LES HUMAINS DANS LAQUELLE L’EMPLACEMENT DES CARACTÉRISTIQUES UNIQUES N’ÉTAIT PAS POSSIBLE, NI LA RECHERCHE ACTIVE DE DIFFÉRENCES, ASSURANT UNE SIMPLE EXPOSITION NOUS PERMETTRAIT DE CONTRASTE SI LES PROCESSUS ASSOCIATIFS DE BASE DE MODULATION DE LA SALIENCE AUSSI DANS CE CAS-CI. LES MÉCANISMES GÉNÉRAUX DE COMPARAISON ET DE MODULATION DE LA SALIENCE DEVRAIENT ÊTRE INTÉGRÉS PAR LES THÉORIES ASSOCIATIVES ACTUELLES AFIN DE FOURNIR UNE EXPLICATION COMPLÈTE DES PHÉNOMÈNES D’APPRENTISSAGE PERCEPTIF. (French) | |||||||||||||||
| Property / summary: LE PHÉNOMÈNE DE L’APPRENTISSAGE PERCEPTIF SE RÉFÈRE À L’OBSERVATION QUE L’EXPÉRIENCE DE DEUX STIMULI SIMILAIRES FACILITE LEUR DISCRIMINATION ULTÉRIEURE. CE PHÉNOMÈNE A ÉTÉ ÉTUDIÉ EN UTILISANT DES ANIMAUX NON HUMAINS COMME SUJETS ET ON A SUPPOSÉ QUE LES MÉCANISMES DE BASE DE LA PERCEPTION ET DE L’APPRENTISSAGE SONT GÉNÉRAUX ET QUE LES RÉSULTATS DE CES ÉTUDES ONT UNE APPLICABILITÉ GÉNÉRALE, Y COMPRIS NOTRE PROPRE ESPÈCE. SUR LA BASE DES MODÈLES ISSUS DE L’EXPÉRIMENTATION ANIMALE, UNE SÉRIE D’ÉTUDES MENÉES AVEC L’HOMME ONT CONFIRMÉ LES EFFETS FONDAMENTAUX DE L’APPRENTISSAGE PERCEPTIF, PRÉVISIBLE À PARTIR DE MODÈLES THÉORIQUES DE MODULATION DE SALIENCE, MAIS ONT ÉGALEMENT MIS EN ÉVIDENCE CERTAINS PHÉNOMÈNES QUI NE CORRESPONDENT PAS ET QUI, EN PRINCIPE, PEUVENT SEMBLER SPÉCIFIQUES AUX HUMAINS, COMME LE PROCESSUS DE COMPARAISON. TOUS LES EFFETS OBSERVÉS DANS LES ÉTUDES HUMAINES SEMBLENT INDIQUER, SUIVANT L’IDÉE ORIGINALE PROPOSÉE PAR GIBSON (1956), QUE LA COMPARAISON EST ESSENTIELLE POUR L’APPRENTISSAGE PERCEPTIF. LE PROCESSUS DE COMPARAISON ABOUTIRAIT À UNE PLUS GRANDE SALIENCE DES CARACTÉRISTIQUES UNIQUES, SOIT EN RAISON D’UN PROCESSUS D’HABITUATION OU D’ADAPTATION À COURT TERME QUI ENTRAÎNERAIT UNE PLUS GRANDE ATTENTION VERS ELLES OU UNE MEILLEURE REPRÉSENTATION DE CES CARACTÉRISTIQUES EN MÉMOIRE. INVERSEMENT, DANS LE CAS DES ÉTUDES SUR LES ANIMAUX, LA PROCÉDURE UTILISÉE NE FAVORISE PAS LA COMPARAISON ET, LORSQUE DES MANIPULATIONS APPROPRIÉES ONT ÉTÉ EFFECTUÉES POUR PROMOUVOIR LEUR PERFORMANCE, LES RÉSULTATS ONT ÉTÉ AMBIGUS. EN FAIT, DANS UN RÉCENT EXAMEN, MITCHELL ET HALL (2014) CONCLUENT QUE LA DIFFÉRENCE DANS LA CAPACITÉ DE BÉNÉFICIER DE LA POSSIBILITÉ DE COMPARER LES STIMULI POURRAIT CONSTITUER UNE DISTINCTION IMPORTANTE ENTRE L’EFFET D’APPRENTISSAGE PERCEPTIF SUR LES ANIMAUX ET LES HUMAINS. D’AUTRE PART, LES RÉSULTATS DIVERGENTS OBTENUS CHEZ L’HOMME PEUVENT ÊTRE DUS À D’AUTRES CARACTÉRISTIQUES DE LA PROCÉDURE UTILISÉE. LA PLUPART DES ÉTUDES UTILISENT DES STIMULI VISUELS COMPLEXES, TELS QUE DES BARRAGES DE COULEUR, AVEC UN FOND COMMUN ET DES CARACTÉRISTIQUES UNIQUES AVEC UNE COULEUR, UNE FORME ET UNE POSITION SPÉCIFIQUES. EN UTILISANT CE TYPE DE STIMULUS, ON NE PEUT EXCLURE QUE L’EFFET OBSERVÉ SOIT DÛ À UN APPRENTISSAGE SUPERVISÉ ET NON À UNE SIMPLE EXPOSITION. CELA REND LA PROCÉDURE UTILISÉE SEMBLABLE AU PARADIGME CLASSIQUE DE LA DISCRIMINATION ET NE PEUT PAS ÊTRE CONSIDÉRÉE COMME UN APPRENTISSAGE PERCEPTIF. PAR CONSÉQUENT, L’OBJECTIF DE CE PROJET EST DE RÉALISER UNE SÉRIE D’EXPÉRIENCES SUR DES SUJETS ANIMAUX, EN UTILISANT DES PROCÉDURES POUR MONTRER QUE LE PROCESSUS DE COMPARAISON FONCTIONNE ÉGALEMENT SUR DES ANIMAUX NON HUMAINS ET UNE SÉRIE D’EXPÉRIENCES AVEC DES HUMAINS QUI PERMETTENT DE DÉTERMINER SI LES STIMULI NORMALEMENT UTILISÉS SONT APPROPRIÉS OU PLUTÔT CE QUI EST UTILISÉ EST UNE PROCÉDURE D’APPRENTISSAGE DISCRIMINANT. CONCEVOIR UNE NOUVELLE PROCÉDURE AVEC LES HUMAINS DANS LAQUELLE L’EMPLACEMENT DES CARACTÉRISTIQUES UNIQUES N’ÉTAIT PAS POSSIBLE, NI LA RECHERCHE ACTIVE DE DIFFÉRENCES, ASSURANT UNE SIMPLE EXPOSITION NOUS PERMETTRAIT DE CONTRASTE SI LES PROCESSUS ASSOCIATIFS DE BASE DE MODULATION DE LA SALIENCE AUSSI DANS CE CAS-CI. LES MÉCANISMES GÉNÉRAUX DE COMPARAISON ET DE MODULATION DE LA SALIENCE DEVRAIENT ÊTRE INTÉGRÉS PAR LES THÉORIES ASSOCIATIVES ACTUELLES AFIN DE FOURNIR UNE EXPLICATION COMPLÈTE DES PHÉNOMÈNES D’APPRENTISSAGE PERCEPTIF. (French) / rank | |||||||||||||||
Normal rank | |||||||||||||||
| Property / summary: LE PHÉNOMÈNE DE L’APPRENTISSAGE PERCEPTIF SE RÉFÈRE À L’OBSERVATION QUE L’EXPÉRIENCE DE DEUX STIMULI SIMILAIRES FACILITE LEUR DISCRIMINATION ULTÉRIEURE. CE PHÉNOMÈNE A ÉTÉ ÉTUDIÉ EN UTILISANT DES ANIMAUX NON HUMAINS COMME SUJETS ET ON A SUPPOSÉ QUE LES MÉCANISMES DE BASE DE LA PERCEPTION ET DE L’APPRENTISSAGE SONT GÉNÉRAUX ET QUE LES RÉSULTATS DE CES ÉTUDES ONT UNE APPLICABILITÉ GÉNÉRALE, Y COMPRIS NOTRE PROPRE ESPÈCE. SUR LA BASE DES MODÈLES ISSUS DE L’EXPÉRIMENTATION ANIMALE, UNE SÉRIE D’ÉTUDES MENÉES AVEC L’HOMME ONT CONFIRMÉ LES EFFETS FONDAMENTAUX DE L’APPRENTISSAGE PERCEPTIF, PRÉVISIBLE À PARTIR DE MODÈLES THÉORIQUES DE MODULATION DE SALIENCE, MAIS ONT ÉGALEMENT MIS EN ÉVIDENCE CERTAINS PHÉNOMÈNES QUI NE CORRESPONDENT PAS ET QUI, EN PRINCIPE, PEUVENT SEMBLER SPÉCIFIQUES AUX HUMAINS, COMME LE PROCESSUS DE COMPARAISON. TOUS LES EFFETS OBSERVÉS DANS LES ÉTUDES HUMAINES SEMBLENT INDIQUER, SUIVANT L’IDÉE ORIGINALE PROPOSÉE PAR GIBSON (1956), QUE LA COMPARAISON EST ESSENTIELLE POUR L’APPRENTISSAGE PERCEPTIF. LE PROCESSUS DE COMPARAISON ABOUTIRAIT À UNE PLUS GRANDE SALIENCE DES CARACTÉRISTIQUES UNIQUES, SOIT EN RAISON D’UN PROCESSUS D’HABITUATION OU D’ADAPTATION À COURT TERME QUI ENTRAÎNERAIT UNE PLUS GRANDE ATTENTION VERS ELLES OU UNE MEILLEURE REPRÉSENTATION DE CES CARACTÉRISTIQUES EN MÉMOIRE. INVERSEMENT, DANS LE CAS DES ÉTUDES SUR LES ANIMAUX, LA PROCÉDURE UTILISÉE NE FAVORISE PAS LA COMPARAISON ET, LORSQUE DES MANIPULATIONS APPROPRIÉES ONT ÉTÉ EFFECTUÉES POUR PROMOUVOIR LEUR PERFORMANCE, LES RÉSULTATS ONT ÉTÉ AMBIGUS. EN FAIT, DANS UN RÉCENT EXAMEN, MITCHELL ET HALL (2014) CONCLUENT QUE LA DIFFÉRENCE DANS LA CAPACITÉ DE BÉNÉFICIER DE LA POSSIBILITÉ DE COMPARER LES STIMULI POURRAIT CONSTITUER UNE DISTINCTION IMPORTANTE ENTRE L’EFFET D’APPRENTISSAGE PERCEPTIF SUR LES ANIMAUX ET LES HUMAINS. D’AUTRE PART, LES RÉSULTATS DIVERGENTS OBTENUS CHEZ L’HOMME PEUVENT ÊTRE DUS À D’AUTRES CARACTÉRISTIQUES DE LA PROCÉDURE UTILISÉE. LA PLUPART DES ÉTUDES UTILISENT DES STIMULI VISUELS COMPLEXES, TELS QUE DES BARRAGES DE COULEUR, AVEC UN FOND COMMUN ET DES CARACTÉRISTIQUES UNIQUES AVEC UNE COULEUR, UNE FORME ET UNE POSITION SPÉCIFIQUES. EN UTILISANT CE TYPE DE STIMULUS, ON NE PEUT EXCLURE QUE L’EFFET OBSERVÉ SOIT DÛ À UN APPRENTISSAGE SUPERVISÉ ET NON À UNE SIMPLE EXPOSITION. CELA REND LA PROCÉDURE UTILISÉE SEMBLABLE AU PARADIGME CLASSIQUE DE LA DISCRIMINATION ET NE PEUT PAS ÊTRE CONSIDÉRÉE COMME UN APPRENTISSAGE PERCEPTIF. PAR CONSÉQUENT, L’OBJECTIF DE CE PROJET EST DE RÉALISER UNE SÉRIE D’EXPÉRIENCES SUR DES SUJETS ANIMAUX, EN UTILISANT DES PROCÉDURES POUR MONTRER QUE LE PROCESSUS DE COMPARAISON FONCTIONNE ÉGALEMENT SUR DES ANIMAUX NON HUMAINS ET UNE SÉRIE D’EXPÉRIENCES AVEC DES HUMAINS QUI PERMETTENT DE DÉTERMINER SI LES STIMULI NORMALEMENT UTILISÉS SONT APPROPRIÉS OU PLUTÔT CE QUI EST UTILISÉ EST UNE PROCÉDURE D’APPRENTISSAGE DISCRIMINANT. CONCEVOIR UNE NOUVELLE PROCÉDURE AVEC LES HUMAINS DANS LAQUELLE L’EMPLACEMENT DES CARACTÉRISTIQUES UNIQUES N’ÉTAIT PAS POSSIBLE, NI LA RECHERCHE ACTIVE DE DIFFÉRENCES, ASSURANT UNE SIMPLE EXPOSITION NOUS PERMETTRAIT DE CONTRASTE SI LES PROCESSUS ASSOCIATIFS DE BASE DE MODULATION DE LA SALIENCE AUSSI DANS CE CAS-CI. LES MÉCANISMES GÉNÉRAUX DE COMPARAISON ET DE MODULATION DE LA SALIENCE DEVRAIENT ÊTRE INTÉGRÉS PAR LES THÉORIES ASSOCIATIVES ACTUELLES AFIN DE FOURNIR UNE EXPLICATION COMPLÈTE DES PHÉNOMÈNES D’APPRENTISSAGE PERCEPTIF. (French) / qualifier | |||||||||||||||
point in time: 2 December 2021
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Revision as of 11:54, 2 December 2021
Project Q3138023 in Spain
| Language | Label | Description | Also known as |
|---|---|---|---|
| English | PERCEPTIVE LEARNING IN ANIMALS AND HUMANS: COMPARISON AND MODULATION OF SALIENCE |
Project Q3138023 in Spain |
Statements
56,144.0 Euro
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70,180.0 Euro
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80.0 percent
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1 January 2016
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31 December 2019
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UNIVERSIDAD DE GRANADA
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37°10'24.60"N, 3°35'58.31"W
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18087
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EL FENOMENO DE APRENDIZAJE PERCEPTIVO HACE REFERENCIA A LA OBSERVACION DE QUE LA EXPERIENCIA CON DOS ESTIMULOS SEMEJANTES FACILITA SU DISCRIMINACION POSTERIOR. ESTE FENOMENO HA SIDO ESTUDIADO UTILIZANDO ANIMALES NO HUMANOS COMO SUJETOS Y SE HA ASUMIDO QUE LOS MECANISMOS BASICOS DE PERCEPCION Y APRENDIZAJE SON GENERALES Y QUE LOS HALLAZGOS DERIVADOS DE ESTOS ESTUDIOS TIENEN UNA APLICABILIDAD GENERAL, INCLUIDA NUESTRA PROPIA ESPECIE. A PARTIR DE LOS MODELOS SURGIDOS DE LA EXPERIMENTACION CON ANIMALES UNA SERIE DE ESTUDIOS REALIZADOS CON HUMANOS HAN CONFIRMADO LOS EFECTOS BASICOS DEL APRENDIZAJE PERCEPTIVO, PREDECIBLES A PARTIR DE LOS MODELOS TEORICOS DE MODULACION DE SALIENCIA PERO TAMBIEN HAN SEÑALADO ALGUNOS FENOMENOS QUE NO SE AJUSTAN Y QUE EN PRINCIPIO PODRIAN PARECER ESPECIFOS A LOS HUMANOS, COMO EL PROCESO DE COMPARACION. TODOS LOS EFECTOS HALLADOS EN LOS ESTUDIOS CON HUMANOS PARECEN SUGERIR, SIGUIENDO LA IDEA ORIGINAL PROPUESTA POR GIBSON (1956), QUE LA COMPARACION ES CRITICA PARA EL APRENDIZAJE PERCEPTIVO. EL PROCESO DE COMPARACION RESULTARIA EN UNA MAYOR SALIENCIA DE LAS CARACTERISTICAS UNICAS, BIEN DEBIDO A UN PROCESO DE HABITUACION O ADAPTACION A CORTO PLAZO QUE DARIA LUGAR A UNA MAYOR ATENCION DIRIGIDA HACIA ESTAS O A UNA MEJOR REPRESENTACION DE ESTAS CARACTERISTICAS EN LA MEMORIA. POR EL CONTRARIO, EN EL CASO DE LOS ESTUDIOS REALIZADOS CON ANIMALES EL PROCEDIMIENTO UTILIZADO NO FAVORECE LA COMPARACION Y CUANDO SE HAN REALIZADO LAS MANIPULACIONES PERTINENTES PARA FAVORECER SU ACTUACION LOS RESULTADOS SE HAN MOSTRADO AMBIGUOS. DE HECHO, EN UNA REVISION RECIENTE, MITCHELL Y HALL (2014) CONCLUYEN QUE LA DIFERENCIA EN LA CAPACIDAD PARA BENEFICIARSE DE LA OPORTUNIDAD DE COMPARAR ENTRE ESTIMULOS PODRIA CONSTITUIR UNA IMPORTANTE DISTINCION ENTRE EL EFECTO DE APRENDIZAJE PERCEPTIVO EN ANIMALES Y HUMANOS. POR OTRA PARTE, LOS RESULTADOS DISCREPANTES OBTENIDOS CON HUMANOS PUEDEN DEBERSE A OTRAS CARACTERISTICAS DEL PROCEDIMIENTO UTILIZADO. LA MAYORIA DE LOS ESTUDIOS UTILIZAN ESTIMULOS VISUALES COMPLEJOS, COMO DAMEROS DE COLORES, CON UN FONDO COMUN Y CARACTERISTICAS UNICAS CON UN COLOR, FORMA Y POSICION DETERMINADOS. UTILIZANDO ESTE TIPO DE ESTIMULOS NO SE PUEDE DESCARTAR QUE EL EFECTO OBSERVADO SE DEBA A APRENDIZAJE SUPERVISADO Y NO A MERA EXPOSICION. ESTO HACE QUE EL PROCEDIMIENTO EMPLEADO SEA SEMEJANTE AL PARADIGMA CLASICO DE DISCRIMINACION, Y NO PUEDA SER CONSIDERADO APRENDIZAJE PERCEPTIVO. POR TANTO EL OBJETIVO DEL PRESENTE PROYECTO ES LLEVAR A CABO UNA SERIE DE EXPERIMENTOS CON SUJETOS ANIMALES, UTILIZANDO PROCEDIMIENTOS QUE PERMITAN EVIDENCIAR QUE EL PROCESO DE COMPARACION TAMBIEN OPERA EN ANIMALES NO HUMANOS Y UNA SERIE DE EXPERIMENTOS CON HUMANOS QUE NOS PERMITAN DISCERNIR SI LOS ESTIMULOS NORMALMENTE UTILIZADOS SON LOS ADECUADOS O MAS BIEN LO QUE SE ESTA UTILIZANDO ES UN PROCEDIMIENTO DE APRENDIZAJE DISCRIMINATIVO. DISEÑAR UN PROCEDIMIENTO NUEVO CON HUMANOS EN EL QUE LA LOCALIZACION DE LAS CARACTERISTICAS UNICAS NO FUERA POSIBLE, NI LA BUSQUEDA ACTIVA DE LAS DIFERENCIAS, ASEGURANDO LA MERA EXPOSICION NOS PERMITIRIA CONTRASTAR SI LOS PROCESOS BASICOS ASOCIATIVOS DE MODULACION DE SALIENCIA TAMBIEN ACTUAN EN ESTE CASO. LOS MECANISMOS GENERALES DE COMPARACION Y MODULACION DE SALIENCIA DEBERIAN SER INTEGRADOS POR LA TEORIAS ASOCIATIVAS ACTUALES PARA PODER OFRECER UNA EXPLICACION COMPLETA DEL FENOMENO DE APRENDIZAJE PERCEPTIVO. (Spanish)
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THE PHENOMENON OF PERCEPTIVE LEARNING REFERS TO THE OBSERVATION THAT EXPERIENCE WITH TWO SIMILAR STIMULI FACILITATES THEIR SUBSEQUENT DISCRIMINATION. THIS PHENOMENON HAS BEEN STUDIED USING NON-HUMAN ANIMALS AS SUBJECTS AND IT HAS BEEN ASSUMED THAT THE BASIC MECHANISMS OF PERCEPTION AND LEARNING ARE GENERAL AND THAT THE FINDINGS DERIVED FROM THESE STUDIES HAVE A GENERAL APPLICABILITY, INCLUDING OUR OWN SPECIES. BASED ON THE MODELS THAT EMERGED FROM ANIMAL EXPERIMENTATION, A SERIES OF STUDIES CARRIED OUT WITH HUMANS HAVE CONFIRMED THE BASIC EFFECTS OF PERCEPTIVE LEARNING, PREDICTABLE FROM THEORIC MODELS OF SALIENCE MODULATION, BUT HAVE ALSO POINTED OUT SOME PHENOMENA THAT DO NOT FIT AND THAT IN PRINCIPLE MIGHT SEEM SPECIFIC TO HUMANS, SUCH AS THE PROCESS OF COMPARISON. ALL THE EFFECTS FOUND IN HUMAN STUDIES SEEM TO SUGGEST, FOLLOWING THE ORIGINAL IDEA PROPOSED BY GIBSON (1956), THAT THE COMPARISON IS CRITICAL FOR PERCEPTIVE LEARNING. THE PROCESS OF COMPARISON WOULD RESULT IN A GREATER SALIENCE OF THE UNIQUE CHARACTERISTICS, EITHER DUE TO A PROCESS OF HABITUATION OR SHORT-TERM ADAPTATION THAT WOULD RESULT IN A GREATER ATTENTION DIRECTED TOWARDS THEM OR A BETTER REPRESENTATION OF THESE CHARACTERISTICS IN MEMORY. CONVERSELY, IN THE CASE OF ANIMAL STUDIES, THE PROCEDURE USED DOES NOT FAVOUR COMPARISON AND WHEN APPROPRIATE MANIPULATIONS HAVE BEEN CARRIED OUT TO PROMOTE THEIR PERFORMANCE, THE RESULTS HAVE BEEN AMBIGUOUS. IN FACT, IN A RECENT REVIEW, MITCHELL AND HALL (2014) CONCLUDE THAT THE DIFFERENCE IN THE ABILITY TO BENEFIT FROM THE OPPORTUNITY TO COMPARE BETWEEN STIMULI COULD CONSTITUTE AN IMPORTANT DISTINCTION BETWEEN THE PERCEPTIVE LEARNING EFFECT ON ANIMALS AND HUMANS. ON THE OTHER HAND, THE DISSENTING RESULTS OBTAINED WITH HUMANS MAY BE DUE TO OTHER CHARACTERISTICS OF THE PROCEDURE USED. MOST STUDIES USE COMPLEX VISUAL STIMULI, SUCH AS COLOR DAMMINGS, WITH A COMMON BACKGROUND AND UNIQUE CHARACTERISTICS WITH A SPECIFIC COLOUR, SHAPE AND POSITION. USING THIS TYPE OF STIMULUS IT CANNOT BE RULED OUT THAT THE OBSERVED EFFECT IS DUE TO SUPERVISED LEARNING AND NOT TO MERE EXPOSURE. THIS MAKES THE PROCEDURE USED SIMILAR TO THE CLASSIC PARADIGM OF DISCRIMINATION, AND CANNOT BE CONSIDERED PERCEPTIVE LEARNING. THEREFORE, THE OBJECTIVE OF THIS PROJECT IS TO CARRY OUT A SERIES OF EXPERIMENTS ON ANIMAL SUBJECTS, USING PROCEDURES TO SHOW THAT THE COMPARISON PROCESS ALSO OPERATES IN NON-HUMAN ANIMALS AND A SERIES OF EXPERIMENTS WITH HUMANS THAT ALLOW US TO DISCERN WHETHER THE NORMALLY USED STIMULI ARE APPROPRIATE OR RATHER WHAT IS BEING USED IS A DISCRIMINATIVE LEARNING PROCEDURE. DESIGN A NEW PROCEDURE WITH HUMANS IN WHICH THE LOCATION OF THE UNIQUE CHARACTERISTICS WAS NOT POSSIBLE, NOR THE ACTIVE SEARCH FOR DIFFERENCES, ENSURING MERE EXPOSURE WOULD ALLOW US TO CONTRAST IF THE BASIC ASSOCIATIVE PROCESSES OF SALIENCE MODULATION ALSO ACT IN THIS CASE. THE GENERAL MECHANISMS OF COMPARISON AND MODULATION OF SALIENCE SHOULD BE INTEGRATED BY THE CURRENT ASSOCIATIVE THEORIES IN ORDER TO OFFER A COMPLETE EXPLANATION OF THE PHENOMENA OF PERCEPTIVE LEARNING. (English)
12 October 2021
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LE PHÉNOMÈNE DE L’APPRENTISSAGE PERCEPTIF SE RÉFÈRE À L’OBSERVATION QUE L’EXPÉRIENCE DE DEUX STIMULI SIMILAIRES FACILITE LEUR DISCRIMINATION ULTÉRIEURE. CE PHÉNOMÈNE A ÉTÉ ÉTUDIÉ EN UTILISANT DES ANIMAUX NON HUMAINS COMME SUJETS ET ON A SUPPOSÉ QUE LES MÉCANISMES DE BASE DE LA PERCEPTION ET DE L’APPRENTISSAGE SONT GÉNÉRAUX ET QUE LES RÉSULTATS DE CES ÉTUDES ONT UNE APPLICABILITÉ GÉNÉRALE, Y COMPRIS NOTRE PROPRE ESPÈCE. SUR LA BASE DES MODÈLES ISSUS DE L’EXPÉRIMENTATION ANIMALE, UNE SÉRIE D’ÉTUDES MENÉES AVEC L’HOMME ONT CONFIRMÉ LES EFFETS FONDAMENTAUX DE L’APPRENTISSAGE PERCEPTIF, PRÉVISIBLE À PARTIR DE MODÈLES THÉORIQUES DE MODULATION DE SALIENCE, MAIS ONT ÉGALEMENT MIS EN ÉVIDENCE CERTAINS PHÉNOMÈNES QUI NE CORRESPONDENT PAS ET QUI, EN PRINCIPE, PEUVENT SEMBLER SPÉCIFIQUES AUX HUMAINS, COMME LE PROCESSUS DE COMPARAISON. TOUS LES EFFETS OBSERVÉS DANS LES ÉTUDES HUMAINES SEMBLENT INDIQUER, SUIVANT L’IDÉE ORIGINALE PROPOSÉE PAR GIBSON (1956), QUE LA COMPARAISON EST ESSENTIELLE POUR L’APPRENTISSAGE PERCEPTIF. LE PROCESSUS DE COMPARAISON ABOUTIRAIT À UNE PLUS GRANDE SALIENCE DES CARACTÉRISTIQUES UNIQUES, SOIT EN RAISON D’UN PROCESSUS D’HABITUATION OU D’ADAPTATION À COURT TERME QUI ENTRAÎNERAIT UNE PLUS GRANDE ATTENTION VERS ELLES OU UNE MEILLEURE REPRÉSENTATION DE CES CARACTÉRISTIQUES EN MÉMOIRE. INVERSEMENT, DANS LE CAS DES ÉTUDES SUR LES ANIMAUX, LA PROCÉDURE UTILISÉE NE FAVORISE PAS LA COMPARAISON ET, LORSQUE DES MANIPULATIONS APPROPRIÉES ONT ÉTÉ EFFECTUÉES POUR PROMOUVOIR LEUR PERFORMANCE, LES RÉSULTATS ONT ÉTÉ AMBIGUS. EN FAIT, DANS UN RÉCENT EXAMEN, MITCHELL ET HALL (2014) CONCLUENT QUE LA DIFFÉRENCE DANS LA CAPACITÉ DE BÉNÉFICIER DE LA POSSIBILITÉ DE COMPARER LES STIMULI POURRAIT CONSTITUER UNE DISTINCTION IMPORTANTE ENTRE L’EFFET D’APPRENTISSAGE PERCEPTIF SUR LES ANIMAUX ET LES HUMAINS. D’AUTRE PART, LES RÉSULTATS DIVERGENTS OBTENUS CHEZ L’HOMME PEUVENT ÊTRE DUS À D’AUTRES CARACTÉRISTIQUES DE LA PROCÉDURE UTILISÉE. LA PLUPART DES ÉTUDES UTILISENT DES STIMULI VISUELS COMPLEXES, TELS QUE DES BARRAGES DE COULEUR, AVEC UN FOND COMMUN ET DES CARACTÉRISTIQUES UNIQUES AVEC UNE COULEUR, UNE FORME ET UNE POSITION SPÉCIFIQUES. EN UTILISANT CE TYPE DE STIMULUS, ON NE PEUT EXCLURE QUE L’EFFET OBSERVÉ SOIT DÛ À UN APPRENTISSAGE SUPERVISÉ ET NON À UNE SIMPLE EXPOSITION. CELA REND LA PROCÉDURE UTILISÉE SEMBLABLE AU PARADIGME CLASSIQUE DE LA DISCRIMINATION ET NE PEUT PAS ÊTRE CONSIDÉRÉE COMME UN APPRENTISSAGE PERCEPTIF. PAR CONSÉQUENT, L’OBJECTIF DE CE PROJET EST DE RÉALISER UNE SÉRIE D’EXPÉRIENCES SUR DES SUJETS ANIMAUX, EN UTILISANT DES PROCÉDURES POUR MONTRER QUE LE PROCESSUS DE COMPARAISON FONCTIONNE ÉGALEMENT SUR DES ANIMAUX NON HUMAINS ET UNE SÉRIE D’EXPÉRIENCES AVEC DES HUMAINS QUI PERMETTENT DE DÉTERMINER SI LES STIMULI NORMALEMENT UTILISÉS SONT APPROPRIÉS OU PLUTÔT CE QUI EST UTILISÉ EST UNE PROCÉDURE D’APPRENTISSAGE DISCRIMINANT. CONCEVOIR UNE NOUVELLE PROCÉDURE AVEC LES HUMAINS DANS LAQUELLE L’EMPLACEMENT DES CARACTÉRISTIQUES UNIQUES N’ÉTAIT PAS POSSIBLE, NI LA RECHERCHE ACTIVE DE DIFFÉRENCES, ASSURANT UNE SIMPLE EXPOSITION NOUS PERMETTRAIT DE CONTRASTE SI LES PROCESSUS ASSOCIATIFS DE BASE DE MODULATION DE LA SALIENCE AUSSI DANS CE CAS-CI. LES MÉCANISMES GÉNÉRAUX DE COMPARAISON ET DE MODULATION DE LA SALIENCE DEVRAIENT ÊTRE INTÉGRÉS PAR LES THÉORIES ASSOCIATIVES ACTUELLES AFIN DE FOURNIR UNE EXPLICATION COMPLÈTE DES PHÉNOMÈNES D’APPRENTISSAGE PERCEPTIF. (French)
2 December 2021
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Granada
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Identifiers
PSI2015-63737-P
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