The Academy of Digital Competences. (Q115602): Difference between revisions
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(Created claim: summary (P836): Le projet est axé sur l’éducation et la formation de 330 personnes (198K; 132 M) d’adultes dès l’âge de 18 ans qui, de leur propre initiative, sont intéressés par un soutien, qui sont désavantagés sur le marché du travail, y compris ceux qui présentent le plus grand déficit de compétences en matière de compétences et d’aptitudes en matière de TIC, dans le système éducatif en dehors du domaine formel des compétences clés — TIC. L’objectif princip...) |
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Le projet est axé sur l’éducation et la formation de 330 personnes (198K; 132 M) d’adultes dès l’âge de 18 ans qui, de leur propre initiative, sont intéressés par un soutien, qui sont désavantagés sur le marché du travail, y compris ceux qui présentent le plus grand déficit de compétences en matière de compétences et d’aptitudes en matière de TIC, dans le système éducatif en dehors du domaine formel des compétences clés — TIC. L’objectif principal du projet est le problème: Dans l’économie moderne fondée sur la connaissance, non seulement les qualifications professionnelles, mais aussi les compétences qui permettent aux employeurs de choisir les meilleurs employés, prennent de plus en plus d’importance. Les employeurs, y compris ceux de la voïvodie d’Opole, accordent une attention particulière à l’utilisation efficace de l’ordinateur, qui est devenue une condition préalable à un nombre croissant de professions: 52 % et 31 % respectivement pour les emplois de bureau et les emplois spécialisés, 19 % en liaison avec les services et 11 % pour le personnel moyen[2]. Toutefois, comme le montre la recherche, le faible niveau de compétences numériques, c’est-à-dire le déficit de compétences en matière de TIC, est un problème croissant. En dépit d’un accès généralisé aux TIC, près de 42 % des adultes n’utilisent toujours pas l’ordinateur et l’internet, même dans le champ d’application[2], ce qui constitue un obstacle au marché du travail, étant donné que les employeurs ont besoin d’au moins un niveau de service de base dans les offres proposées (équivalant au niveau A, c’est-à-dire une formation au niveau DIGCOMP A). Cela est confirmé par l’étude[3]. Pour 78 % des répondants, le faible niveau de compétences en TIC représente un obstacle important sur le marché du travail (entre autres, il a empêché la promotion, le redéploiement, l’insertion professionnelle) et dans la vie quotidienne (par exemple, accès limité à l’information et à l’information, difficultés de communication, par exemple avec une famille à l’étranger)[3]. (French) | |||||||||||||||
| Property / summary: Le projet est axé sur l’éducation et la formation de 330 personnes (198K; 132 M) d’adultes dès l’âge de 18 ans qui, de leur propre initiative, sont intéressés par un soutien, qui sont désavantagés sur le marché du travail, y compris ceux qui présentent le plus grand déficit de compétences en matière de compétences et d’aptitudes en matière de TIC, dans le système éducatif en dehors du domaine formel des compétences clés — TIC. L’objectif principal du projet est le problème: Dans l’économie moderne fondée sur la connaissance, non seulement les qualifications professionnelles, mais aussi les compétences qui permettent aux employeurs de choisir les meilleurs employés, prennent de plus en plus d’importance. Les employeurs, y compris ceux de la voïvodie d’Opole, accordent une attention particulière à l’utilisation efficace de l’ordinateur, qui est devenue une condition préalable à un nombre croissant de professions: 52 % et 31 % respectivement pour les emplois de bureau et les emplois spécialisés, 19 % en liaison avec les services et 11 % pour le personnel moyen[2]. Toutefois, comme le montre la recherche, le faible niveau de compétences numériques, c’est-à-dire le déficit de compétences en matière de TIC, est un problème croissant. En dépit d’un accès généralisé aux TIC, près de 42 % des adultes n’utilisent toujours pas l’ordinateur et l’internet, même dans le champ d’application[2], ce qui constitue un obstacle au marché du travail, étant donné que les employeurs ont besoin d’au moins un niveau de service de base dans les offres proposées (équivalant au niveau A, c’est-à-dire une formation au niveau DIGCOMP A). Cela est confirmé par l’étude[3]. Pour 78 % des répondants, le faible niveau de compétences en TIC représente un obstacle important sur le marché du travail (entre autres, il a empêché la promotion, le redéploiement, l’insertion professionnelle) et dans la vie quotidienne (par exemple, accès limité à l’information et à l’information, difficultés de communication, par exemple avec une famille à l’étranger)[3]. (French) / rank | |||||||||||||||
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| Property / summary: Le projet est axé sur l’éducation et la formation de 330 personnes (198K; 132 M) d’adultes dès l’âge de 18 ans qui, de leur propre initiative, sont intéressés par un soutien, qui sont désavantagés sur le marché du travail, y compris ceux qui présentent le plus grand déficit de compétences en matière de compétences et d’aptitudes en matière de TIC, dans le système éducatif en dehors du domaine formel des compétences clés — TIC. L’objectif principal du projet est le problème: Dans l’économie moderne fondée sur la connaissance, non seulement les qualifications professionnelles, mais aussi les compétences qui permettent aux employeurs de choisir les meilleurs employés, prennent de plus en plus d’importance. Les employeurs, y compris ceux de la voïvodie d’Opole, accordent une attention particulière à l’utilisation efficace de l’ordinateur, qui est devenue une condition préalable à un nombre croissant de professions: 52 % et 31 % respectivement pour les emplois de bureau et les emplois spécialisés, 19 % en liaison avec les services et 11 % pour le personnel moyen[2]. Toutefois, comme le montre la recherche, le faible niveau de compétences numériques, c’est-à-dire le déficit de compétences en matière de TIC, est un problème croissant. En dépit d’un accès généralisé aux TIC, près de 42 % des adultes n’utilisent toujours pas l’ordinateur et l’internet, même dans le champ d’application[2], ce qui constitue un obstacle au marché du travail, étant donné que les employeurs ont besoin d’au moins un niveau de service de base dans les offres proposées (équivalant au niveau A, c’est-à-dire une formation au niveau DIGCOMP A). Cela est confirmé par l’étude[3]. Pour 78 % des répondants, le faible niveau de compétences en TIC représente un obstacle important sur le marché du travail (entre autres, il a empêché la promotion, le redéploiement, l’insertion professionnelle) et dans la vie quotidienne (par exemple, accès limité à l’information et à l’information, difficultés de communication, par exemple avec une famille à l’étranger)[3]. (French) / qualifier | |||||||||||||||
point in time: 1 December 2021
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Revision as of 20:15, 1 December 2021
Project Q115602 in Poland
| Language | Label | Description | Also known as |
|---|---|---|---|
| English | The Academy of Digital Competences. |
Project Q115602 in Poland |
Statements
823,968.75 zloty
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969,375.0 zloty
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85.0 percent
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1 September 2017
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31 August 2019
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EUROSOLUTIONS JAN DYMEK
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50°53'30.8"N, 17°55'55.6"E
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Przedmiotem proj. jest kształcenie i szkolenie 330 osób (198K;132M) dorosłych od 18 roku życia, które z własnej inicjatywy są zainteresowane wsparciem, znajdujące się w niekorzystnej sytuacji na rynku pracy, w tym osoby wykazujące największą lukę kompetencyjną w zakresie kompetencji i umiejętności TIK, w ramach systemu kształcenia poza formalnego w zakresie kompetencji kluczowych - TIK. Problem na który odpowiedź stanowi cel główny projektu: We współczesnej gospodarce opartej na wiedzy, coraz większego znaczenia nabierają nie tylko kwalifikacje zawodowe, ale także kompetencje, które pozwalają pracodawcom wybrać najlepszych pracowników. Pracodawcy, w tym z woj. opolskiego, zwracają uwagę zwłaszcza na sprawne posługiwanie się komputerem, które stało się warunkiem koniecznym do wykonywania coraz większej ilości zawodów: dot. odpowiednio 52% i 31% miejsc pracy na stanowiskach biurowych i specjalistycznych, 19% zw. z usługami i 11% dot. średniego personelu[2]. Jednak jak pokazują prowadzone badania, coraz większym problemem jest niski poziom kompetencji cyfrowych czyli tzw. luki kompetencyjne w obszarze TIK. Mimo ogromnego upowszechnienia dostępu do technologii TIK, wciąż blisko 42% dorosłych nie posługuje się komputerem i Internetem nawet w podst. zakresie[2], co stanowi przeszkodę na rynku pracy ponieważ pracodawcy w zamieszczonych ofertach wymagają obsługi na poziomie co najmniej podstawowym (odpowiednik poziomu A, stąd założono szkolenia na poziomie DIGCOMP A). Potwierdza to badanie[3]. Dla 78%os. ankietowanych, niskie kompetencje TIK stanowią znaczne utrudnienie na rynku pracy (m.in. uniemożliwiło awans, zmianę stanowiska, podjęcie pracy) i w życiu codziennym (m.in. ograniczony dostęp do wiadomości i informacji, trudności komunikacyjne, np. z rodziną za granicą)[3]. (Polish)
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The subject of the project is the education and training of 330 (198K;132M) adults since the age of 18 who, on their own initiative, are interested in supporting disadvantaged people on the labour market, including those with the greatest competence gap in ICT competences and skills, within the framework of the non-formal education system for key competences – ICT. The main objective of the project is the problem to which: In the modern knowledge-based economy, not only professional qualifications, but also competences that allow employers to choose the best employees are becoming increasingly important. Employers, including the Opolskie Voivodeship, pay attention especially to the efficient use of computers, which has become a necessary condition for performing more and more professions: 52 % and 31 % of office and specialist jobs respectively, 19 % with services and 11 % of medium staff[2]. However, as research shows, a growing problem is the low level of digital competence, i.e. the so-called competence gaps in the area of ICT. Despite the huge increase in access to ICT, close to 42 % of adults do not use computers and the Internet even in the scope[2], which is an obstacle to the labour market because employers in their offers require at least basic level of service (equivalent to level A, hence training at DIGCOMP A level). This is confirmed by the study[3]. For 78 % of people surveyed, ICT’s low competences represent a significant obstacle in the labour market (including prevented promotion, change of position, taking up work) and in everyday life (e.g. limited access to information and information, communication difficulties, e.g. with family abroad)[3]. (English)
20 October 2020
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Le projet est axé sur l’éducation et la formation de 330 personnes (198K; 132 M) d’adultes dès l’âge de 18 ans qui, de leur propre initiative, sont intéressés par un soutien, qui sont désavantagés sur le marché du travail, y compris ceux qui présentent le plus grand déficit de compétences en matière de compétences et d’aptitudes en matière de TIC, dans le système éducatif en dehors du domaine formel des compétences clés — TIC. L’objectif principal du projet est le problème: Dans l’économie moderne fondée sur la connaissance, non seulement les qualifications professionnelles, mais aussi les compétences qui permettent aux employeurs de choisir les meilleurs employés, prennent de plus en plus d’importance. Les employeurs, y compris ceux de la voïvodie d’Opole, accordent une attention particulière à l’utilisation efficace de l’ordinateur, qui est devenue une condition préalable à un nombre croissant de professions: 52 % et 31 % respectivement pour les emplois de bureau et les emplois spécialisés, 19 % en liaison avec les services et 11 % pour le personnel moyen[2]. Toutefois, comme le montre la recherche, le faible niveau de compétences numériques, c’est-à-dire le déficit de compétences en matière de TIC, est un problème croissant. En dépit d’un accès généralisé aux TIC, près de 42 % des adultes n’utilisent toujours pas l’ordinateur et l’internet, même dans le champ d’application[2], ce qui constitue un obstacle au marché du travail, étant donné que les employeurs ont besoin d’au moins un niveau de service de base dans les offres proposées (équivalant au niveau A, c’est-à-dire une formation au niveau DIGCOMP A). Cela est confirmé par l’étude[3]. Pour 78 % des répondants, le faible niveau de compétences en TIC représente un obstacle important sur le marché du travail (entre autres, il a empêché la promotion, le redéploiement, l’insertion professionnelle) et dans la vie quotidienne (par exemple, accès limité à l’information et à l’information, difficultés de communication, par exemple avec une famille à l’étranger)[3]. (French)
1 December 2021
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Identifiers
RPOP.09.03.00-16-0061/16
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