“Removing the brakes on employability” — Development of digital inclusion (Q3705360): Difference between revisions

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“Removing the brakes on employability” — Development of digital inclusion

Revision as of 12:57, 22 November 2021

Project Q3705360 in France
Language Label Description Also known as
English
“Removing the brakes on employability” — Development of digital inclusion
Project Q3705360 in France

    Statements

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    23,534.67 Euro
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    47,069.35 Euro
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    50.00 percent
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    1 November 2018
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    31 December 2019
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    Association lyonnaise Nouvelle d'Ecoute et d'Accompagnement
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    Les actions de formation au numérique proposées se divisent en 16 sessions permettant la formation de 8 demandeurs d'emploi et/ou bénéficiaires du RSA par session de 45h reconductible. A partir d'un **diagnostic de compétences et d'outillage numérique** effectué par les Conseillers en Insertion socio- professionnelle ou les travailleurs sociaux, les bénéficiaires pourront être orientés sur des sessions de formation de 45h à raison de 3 demi-journées de 3h par semaine. Les formations seront réalisées sur Oullins et Givors dans des salles équipées de 10 postes informatiques au minimum. A l'issue d'une information collective organisée pour chaque session, les bénéficiaires valideront leur adhésion par un contrat d'engagement à la formation avec des objectifs réalisables. Un parcours individuel de formation sera alors réalisé avec chaque stagiaires permettant de repérer l'évolution des compétences. Au vue du de la diversité du public et des écarts importants de niveau entre une personne ne connaissant pas ou presque pas l’outil numérique et une personne souhaitant renforcer ses compétences, il nous parait important de proposer deux parcours différenciés, en alternance : * Un parcours « **initiation** », reprenant les essentiels de l’utilisation du numérique et d’internet * Un parcours « **renforcement** », axé sur l’insertion professionnelle. Chaque parcours dure 45h, au rythme de 3 demi-journée (3h) par semaine (9h/semaine) pour une durée totale de 5 semaines. Une personne ayant bénéficié du parcours « de base » peut être positionné sur le parcours « avancé » dans la continuité. En fin de formation, une attestation d'acquis sera délivrée au stagiaire et au référent de parcours par le formateur après validation par le coordinateur pédagogique. Les stagiaires en niveau avancé pourront également passer le B2i. **Méthodologie générale de la proposition** **Centrer la formation sur la vie quotidienne, en lien étroit avec l’insertion socio-professionnelle**. L’objectif est de rendre les bénéficiaires autonomes pour leurs démarches (recherche d’offre d’emploi, prise de rendez-vous à la Préfecture, déclaration trimestrielle Caf, envoi d’un CV et d’une lettre de motivation, recherche de logement, simulation APL, déclaration trimestrielle RSA, déclaration mensuelle à Pôle emploi, création d’une adresse mail, achat de trajets SNCF, impôts, demande de renseignement ou retrait de document auprès de la CPAM, CMU, …) **Adapter les supports** La problématique particulière des personnes en situation d’exclusion numérique (FLE, illettrisme, rejet de l’outil) doit aussi nous amener à adapter nos contenus, supports et matériels. Là encore trois pistes sont à envisager : * Utiliser des tutoriels vidéo adaptés à nos publics. En effet, le frein représenté par l’écrit est souvent trop important pour les personnes en situation d’illettrisme numérique. Alors que le support vidéo est au cœur du web actuel, il parait essentiel de créer et d’utiliser ce type de supports adaptés. * Utiliser des supports mobiles, de type tablettes. En effet, si ce matériel est peu adapté à la bureautique (même s’il est possible de connecter un clavier physique), l’ergonomie et la présentation graphique rendent la prise en main beaucoup plus rapide. * Présenter des modules de formation adaptés et évolutif. La plupart des actions de formation numérique tourne autour du traitement de texte et de la bureautique en général, alors que cette utilisation est loin d’être l’usage principal de nos publics. Aussi, si ce besoin doit évidemment être pris en compte, il ne doit pas être au centre du dispositif de formation. L’information et la communication, et l’ensemble des usages d’internet apparaissent comme des problématiques bien plus centrales. **Faciliter l’accès et l’accompagnement à l’usage numérique** La première limite représentée par la fracture numérique consiste dans l’accès à l’outil. En effet, bien souvent les personnes ne n’ont pas l’équipement nécessaire ou possède un matériel obsolète voire néfaste (lenteur excessive, mises à jour absentes, virus…). Trois pistes nous paraissent intéressantes pour lever ce frein : * **Adapter l’action de formation** à d’autres supports plus répandus/accessibles (smartphone, tablettes…). En effet, si les bénéficiaires disposent rarement d’un matériel de bureautique adapté au domicile, ils disposent généralement d’un téléphone connecté. De plus, ces matériels sont souvent moins onéreux et prennent de plus en plus de place dans le quotidien des personnes (application mobile, bornes interactives…). Ainsi, les bénéficiaires auront aussi la possibilité de suivre la formation sur leurs propres outils (PC portable, tablette ou téléphone ). * **Accompagner les personnes dans la recherche d’un matériel adapté** , au cout moindre, en partenariat avec les structures existantes (Emmaüs Connect) et sur la recherche d’une connexion réseau (box, mobile…) adaptée et à coût maîtrisé. (French)
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    The digital training measures proposed are divided into 16 sessions allowing the training of 8 jobseekers and/or beneficiaries of the RSA per 45-hour renewable session. From a **diagnostic of skills and digital tools** carried out by socio-professional integration advisers or social workers, beneficiaries may be referred to training sessions of 45 hours at the rate of 3 half-days of 3 hours per week. The training will be carried out on Oullins and Givors in rooms equipped with at least 10 IT stations. At the end of a collective information organised for each session, the beneficiaries will validate their membership by means of a contract of commitment to training with achievable objectives. An individual training course will then be carried out with each trainee to identify the evolution of skills. In view of the diversity of the public and the significant differences in the level between a person who does not or hardly know the digital tool and a person wishing to strengthen his or her skills, it seems important to us to propose two different paths, alternating: * A pathway “**initiation**”, containing the essentials of the use of digital and internet * A “**reinforcement**” path, focused on occupational integration. Each course lasts 45 hours, at the rate of 3 half-day (3h) per week (9h/week) for a total duration of 5 weeks. A person who has benefited from the “basic” route can be positioned on the “advanced” course in continuity. At the end of the course, a certificate of achievement will be issued to the trainee and to the path reference by the trainer after validation by the pedagogical coordinator. Advanced trainees will also be able to pass the B2i. **General methodology of the proposal** **Centre training on daily life, closely linked to socio-professional integration**. The aim is to make the beneficiaries autonomous for their procedures (search for job offers, making appointments at the Prefecture, quarterly CIF declaration, sending a CV and a cover letter, housing search, APL simulation, quarterly RSA declaration, monthly declaration to Pôleemploi, creation of an email address, purchase of SNCF journeys, taxes, request for information or withdrawal of documents from the CPAM, CMU,...) **Adapting media** The particular problem of people in situations of digital exclusion (FLE, illiteracy, rejection of the tool) must also lead us to adapt our content, media and materials. Here again three ways should be considered: * Use video tutorials adapted to our audiences. Indeed, the constraint represented by writing is often too important for people in digital illiteracy. While video support is at the heart of the current web, it seems essential to create and use this type of suitable media. * Use mobile media, such as tablets. Indeed, if this material is unsuitable for office automation (even if it is possible to connect a physical keyboard), ergonomics and graphic presentation make it much faster. * Present adaptive and scalable training modules. Most digital training activities focus on word processing and office automation in general, whereas this use is far from the main use of our audiences. Therefore, if this need is obviously to be taken into account, it should not be at the centre of the training system. Information and communication, and all uses of the Internet appear to be much more central issues. **Facilitating access to and support for digital use** The first limit represented by the digital divide is access to the tool. Indeed, people often do not have the necessary equipment or possess obsolete or even harmful equipment (excessive delay, missing updates, viruses, etc.). Three tracks seem interesting to us to lift this brake: * **adapt the training action** to other more widespread/accessible media (smartphone, tablets, etc.). Indeed, while beneficiaries rarely have office automation equipment adapted to the home, they usually have a connected telephone. Moreover, these materials are often less expensive and take more and more space in people’s daily lives (mobile app, interactive terminals, etc.). Thus, beneficiaries will also have the opportunity to follow the training on their own tools (mobile PC, tablet or phone). * **support people in the search for suitable equipment**, at a lesser cost, in partnership with existing structures (Emmaüs Connect) and on the search for a network connection (box, mobile...) adapted and at controlled cost. (English)
    22 November 2021
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    Identifiers

    201802509
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